« Doula » ou accompagner la naissance

 

Savez-vous ce qu’est une « Doula » ? Nous avons rencontré Julie qui du haut de sa belle expérience a tout mis en place pour venir en aide aux futures mamans, aux jeunes mamans près de chez nous, à la Gaude           (06).

BIO DANS NOS VIES : Parle nous un peu de toi, de ton parcours.

Julie Remery : J’ai 40 ans et je suis maman de 2 enfants (10 et 8 ans). J’habite à la Gaude (La Baronne) depuis presque 7 ans. Nous nous y plaisons beaucoup car notre lotissement est très familial, tous les enfants jouent dans la joie et la bonne humeur pendant que les parents papotent, partagent leurs inquiétudes, leurs doutes et leurs joies !

A la maison nous avons 2 cultures : française et néerlandaise ; mon mari est néerlandais et j’ai vécu 6 ans à Rotterdam aux Pays-Bas. Je suis très attachée aux Pays-Bas car c’est une culture très ouverte sur le monde et qui est aussi très chaleureuse. Le fait d’avoir vécu aux Pays- Bas m’a aussi apporté un autre regard sur la naissance. Il est très important pour moi que mes enfants puissent grandir avec ces 2 cultures.

J’ai travaillé pendant 20 dans l’administratif et il y a 2 ans j’ai décidé de me reconvertir car je ne me sentais plus en phase avec mon travail et mon rythme de vie. Je souhaitais avoir plus de temps pour mes enfants mais surtout faire un métier qui me passionne : travailler au service des mères, des pères, des bébés : des familles.

BIO DANS NOS VIES : Tu es devenue « doula, accompagnante à la naissance », peux-tu nous dire ce qui t’a conduit jusqu’à cette activité ? Quelle formation faut-il suivre pour être accompagnante à la naissance ?

Julie Remery : Mon désir de devenir doula est né d’un manque, le manque d’une présence bienveillante et réconfortante que je ne n’ai pas eu à l’arrivée de mon premier enfant. Même si j’étais sûre d’être bien préparée, quand je suis arrivée à l’hôpital, j’étais perdue : une équipe médicale inconnue (qui peut changer plusieurs fois si le travail dure longtemps), les lieux, le non-respect de mes choix pour moi et pour mon enfant, la culpabilité, les injonctions… Je me suis sentie tellement seule même si mon mari était présent …

Quand j’ai pris la décision de faire ma reconversion professionnelle, j’en ai parlé à une amie en lui expliquant ce que je souhaitais faire, et elle m’a dit « tu sais ce métier existe il s’appelle Doula! Doula… Quel joli et drôle de nom … J’ai donc recherché sur Internet cela a été une révélation ! J’ai rencontré Valérie Dupin (co-fondatrice des doulas de France) de l’institut de Doulas de France , nous avons pris un temps précieux ensemble, elle a écouté mon parcours, mon projet puis m’a expliqué le rôle et l’activité de la Doula avec la future mère, le futur père, la famille… Ce moment inoubliable a validé mon projet.

J’ai donc choisi de faire ma formation par l’Institut des Doulas de France, c’est une formation certifiante et qui s’inscrit dans un cadre légal: https://doulas.info. Elle est composée de 12 modules répartis sur 10 mois ; c’est plus qu’une formation, c’est un magnifique cheminement, de belles rencontres, des partages de vie, d’expériences et très intense émotionnellement !

Les Doulas de France sont signataires d’une charte. Celle-ci pose la base de notre travail, elle régit ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire au niveau légal et juridique et nous permet ainsi d’avoir une pratique encadrée :  https://doulas.info/


BIO DANS NOS VIES : Que t’apporte personnellement cette activité
professionnelle ?

Julie Remery : Je suis authentique. Aujourd’hui je suis une doula avec tout mon expérience de femme, de mère et avec toutes les connaissances nécessaire grâce à ma formation. Pour moi, la transmission, le partage et le lien qui se crée entre les parents et moi sont d’une grande richesse.

C’est un vrai bonheur de pouvoir accompagner les parents sur leur chemin de la parentalité. 

BIO DANS NOS VIES : Cet accompagnement permet aux futures mamans de trouver l’équilibre, de se sentir entourée, mais en quoi est-il différent des diverses méthodes que nous aurions pu ici ou là essayer lors de nos grossesses ?

L’accompagnement d’une doula n’est pas une « méthode » ou un truc que l’on peut essayer ; être doula est une manière d’être et non de faire. Il n’existe pas un modèle unique de doula, il y a autant de doulas différentes que de femmes. La doula est une personne qui est au service de la future mère, du futur père et de la famille. Notre accompagnement n’est ni médical, ni thérapeutique, nous n’avons d’ailleurs pas le droit d’accompagner une femme si elle n’a aucun suivi médical.  

Mon travail consiste à écouter et à transmettre selon le besoin de chaque parent. A donner toutes les informations aux futurs parents pour qu’ils puissent faire leur choix de manière éclairée sur la façon dont ils veulent accueillir leur enfant.  Cette liberté de choix leur permet d’être acteurs de leur accouchement, de leur parentalité. Je suis à l’écoute de leur doutes, questionnements, interrogations et je soutiens leur choix.

Je crois que nous les femmes, nous avons toutes en nous la capacité et les ressources nécessaires pour accoucher. Etre accompagnée peut aider la future maman  à prendre confiance en elle et en ses capacités. Elle pourra ainsi être actrice de son accouchement et pourra faire ses  propres choix le jour J.

Pour le futur papa ou partenaire  aussi je peux être un appui et une présence. Bien souvent, les futurs pères n’ont pas de réel espace d’écoute ; prendre ce temps pour les écouter me semble important.  Je peux également leur  transmettre des outils leur permettant d’être actif le jour J. Je peux accompagner les parents pendant l’accouchement quand l’équipe médicale est d’accord. Pour la maman, avoir une présence rassurante va lui permettre de se sentir en confiance et donc de lâcher prise. Pour le papa,  je peux être un soutien : avoir la liberté d’aller et venir sans culpabiliser, l’aider à trouver sa place.

Le retour à la maison est un moment clé, les parents se retrouvent souvent seuls après les quelques jours passés à la maternité. En tant que doula, je peux apporter une aide pratique et quotidienne :  soutien à l’allaitement, bain, gestion des ainés voire même des tâches ménagères : tout ce qui pourra soulager les jeunes parents et les aider à prendre confiance en eux . Je peux également être présente pour des moments particuliers tels que rendez-vous chez le gynécologue ou autre spécialiste, IVG, IMG….

BIO DANS NOS VIES : Quels sont les motifs de consultation des futures mamans au départ ? 

Julie Remery : Je ne voudrais pas appeler cela une consultation mais plutôt une rencontre. On peut souhaiter être accompagné par une Doula pour n’importe quel motif, souvent c’est juste pour être rassuré, écouté et non jugé. Je me déplace au domicile des futurs parents pour les rencontrer chez eux, dans leur intimité, ce qui permet de créer un lien.

Le nombre des rencontres varie en fonction de chaque accompagnement : cela peut être pour le pré-natal, pour la présence à l’accouchement, ou encore pour le post-natal, ou pour tout. Ce sont les parents qui décident selon leurs besoins.

BIO DANS NOS VIES : Pourquoi ce métier n’est-il pas encore assez développé en France d’après toi ?

Julie Remery : En France, nous avons toujours du retard. Mais grâce à internet, notre metier est de plus en plus connu !  Dans d’autres pays Européens comme le Royaume uni ou les Pays-Bas, les doulas sont reconnues et plus nombreuses. Aux Pays-bas, l’accompagnement d’une doula est remboursé par certaines mutuelles ! La sur-médicalisation de l’accouchement et le manque d’information, éloigne les futures mamans d’un accouchement naturel et respecté.

En tout cas, l’accompagnement à la naissance a des effets positifs prouvés : 50% de diminution du taux de césarienne, 25% de réduction du temps de travail, 60% de réduction de demande de péridurale, 30% de réduction d’utilisation d’analgésique, 40% de réduction des forceps  (chiffres issus de « The Doula book » ; How a Trainer Labor Companion Can Help You Have a Shorter, Easier and Healthier Birth- Marshall, Phyllis Klaus and John Kennell)

Heureusement,  aujourd’hui des femmes, des hommes, doulas, sages-femmes, obstétriciens ou professionnels liés à la périnatalité, se mobilisent et se battent pour retrouver une naissance naturelle et respectée. La parole se libère et c’est en train de bouger.

BIO DANS NOS VIES : Quelles sont les ateliers et les activités que tu proposes ?

Julie Remery : En plus de l’accompagnement, je propose aux futures et jeunes mamans 

–         Des massages pré et postnatals

–         Des ateliers massages bébés (je suis instructrice de l’AFMB (Association Française de Massage Bébé)

–         L’organisation de Blessingway

–         Le soin rebozo

Toutes ces prestations peuvent se faire dans mon espace dédié qui se trouve à La Gaude, quartier La Baronne proche de Saint Laurent du Var ou bien je me déplace à domicile, dans tout le département des Alpes Maritimes et sur Monaco.

 

BIO DANS NOS VIES : Où peut-on te joindre ?

Vous pouvez me joindre à :  julie@bidoudubonheur.com

Internet : www.bidoudubonheur.com

Page Facebook : le Bidou du Bonheur – Julie Remery  

 

 

Photo michel andréo

Pascale.S pour Bio dans nos vies 

 

Gym maman bébé avec Céline de CAP des Baous

Partout en France, des associations proposent des activités, des conférences, des sorties festives et artistiques ; elles créent des liens et remplissent plusieurs fonctions : culturelles, humanitaires, sportives. On peut se demander ce que serait la vie sans ces organisateurs passionnés dans les villes et les villages…

 

 

 

 

 

A Saint-Jeannet, l’association CAP DES BAOUS a très vite trouvé sa place. De nombreux intervenants se succèdent tout au long de l’année pour offrir aux adhérents des séances de gym, de stretching, de Zumba, de danse de salon, de relaxation, des sorties VVT, randonnées etc.

C’est vers Céline que nous tournons nos projecteurs aujourd’hui pour mettre en lumière son professionnalisme et son énergie. Céline Barbetti est une jeune coach sportif et éducatrice spécialisée. Elle anime les cours de Stretching-gainage, de cuisses abdos fessiers, d’éveil gymnique … Faites un tour sur son site pour plus de renseignements: https://www.coachceline.com

Au fil de l’année on prend conscience que les cours prodigués par Céline sont bénéfiques. Avec une grande douceur et une énergie constante et encourageante, elle parvient à insuffler à ses élèves l’envie de se dépasser, et pourtant chacun à son rythme et sans aucune pression. C’est ce qui fait que les participants se sentent dans ses cours tout à fait à l’aise pour donner le meilleur d’eux-mêmes sans risquer le claquage !

Cette année, Céline est devenue maman et c’est tout naturellement que nous lui avons demandé de nous proposer quelques postures ou exercices qui permettent de s’étirer et de renforcer une ceinture abdominale un peu délaissée pendant les mois de grossesse, tout en gardant bébé dans les bras pour partager un moment d’échange unique.

La gym maman-bébé permet aussi au bébé de connaître mieux sa maman, de découvrir son corps à travers le toucher et d’apprivoiser de nouvelles possibilités dans sa psychomotricité, le tout bercé par une douce musique. La confiance se crée en fonction des réponses que les mamans apportent aux bébés. Prendre son enfant dans les bras, le bercer, lui faire partager une promenade ou des exercices sportifs (à conditions qu’ils soient faits en douceur) le stimulent et l’apaisent. Le bébé apprend l’attachement… Il est loin le temps ou l’on disait aux mamans de ne pas trop prendre les bébés dans les bras. Nous, on est pour la gym maman bébé !

Voici les exercices conseillés par Céline comme, faciles et sans danger dans les premiers mois de l’enfant :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Céline Barbetti enseigne à l’association : 

CAP des Baous, Salle Malaussène, Route de Saint-Jeannet 06640 Saint-Jeannet

 Pour tous renseignements, contactez le Président Gérard: 06 16 97 74 76 /capdesbaous@gmail.com

 Pascale. S pour www.biodansnosvies.fr 

 

Myriam, Cecile, Nadège, mamans avant tout mais pas que!

Elles sont trois ce soir là, après le coucher des enfants, autour d’une tasse de tisane brulante pour accueillir « Bio dans nos vies » et témoigner de leur choix d’être mère à 100% tout en trouvant des solutions d’entraide et de partage de temps libre, entre elles, pour pouvoir exercer chacune leur métier-passion.

Il y a Myriam qui après avoir eu Yanis, 8 ans aujourd’hui, et avoir quittté son job d’assistante polyvalente s’est demandé ce qu’elle allait pouvoir mettre en place pour profiter à fond de son enfant tout en développant ce qui lui tenait à cœur, le Shiatsu.

Il y a Cécile, créatrice de bijoux en métaux précieux et perles de Tahiti qui elle aussi veut être proche au quotidien de ses deux enfants, Keita 8 ans et Noé 6 ans. 

                       

Et il y a Nadège photographe et qui grâce à la photo est devenue professeur de Tai Chi. Comment? Et bien en troquant ses photos de cours d’art martiaux contre des cours de Tai chi et des formations pour obtenir son diplôme d’éducateur sportif et d’art énergétique chinois.  

Pas mal le deal ! Mais pour elle aussi, le tout est de trouver un équilibre entre sa vie professionnelle et la volonté énorme, incontournable d’être aux côtés de ses enfants, Ilhan 13 ans et Lula 7 ans, en dehors des temps scolaires. Pas évident tous les jours !

 Comment faire?

Toutes les 3 sont arrivées vers 2010 dans le village de Saint Jeannet dans les Alpes Maritimes. Elles ne se connaissent pas et ne connaissent personne. Alors comme souvent pour les jeunes parents, c’est au fil des allers et retours à l’école que va naître entre Myriam, Cécile et Nadège, une belle amitié.

Plusieurs choses les rapprochent très vite. Nadège raconte avec bonheur comment l’histoire d’amour puissante entre sa fille Lula et Yanis le fils de Myriam, les a obligées, elles, les mamans à se rencontrer. Leur goût commun pour les énergies et les arts asiatiques ouvriront la voix de leur complicité. Myriam dit aussi que c’est peut être, entre elles 3,  le fait de ne pas être tout à fait Françaises qui a accéléré l’amitié. Myriam est franco-algérienne et a vécu en Algerie jusqu’à l’âge de 24 ans. Cecile est Tanzanienne. Elle est partie de son pays à 15 ans et a habité 11 en Polynésie Française. Pour Nadège ce sont les très nombreuses années passées à vivre en communauté en Espagne, avec son mari et ses enfants, qui font qu’elle se sent de double culture, elle aussi.

Là bas, disent elles en cœur, même si elles ont chacune leur   »  » là bas », la communauté, la maternité et l’entraide entre mères et femmes est naturelle, simple. Alors sans trop de difficulté les choses se sont mises en place entre elles pour que leurs enfants ne soient jamais à la garderie après l’école même en cas d’absence d’une des mamans, pour qu’ils mangent ensemble le mercredi midi, et que les covoiturages pour les activités tournent. Mais aussi pour qu’elles puissent travailler. Petit à petit l’organisation se structure, elles arrivent à établir (enfin presque) des plannings autour de leur besoins de femmes et de leur métier et autour des besoins de leurs enfants. Le petit plus est qu’elles ont même réussi à s’organiser pour prendre des cours de chant une fois par semaine à domicile. Elles sont 5 élèves, elle viennent toutes avec leurs enfants. Les mamans chantent et les enfants jouent tous ensembles. Certes, il y a parfois des couacs dans la chorale mais aussi dans la pièce où les enfants jouent… Alors Celine Barcaroli chanteuse lyrique et metteur en scène, leur professeur et jeune maman elle aussi joue de son admirable patience, le temps que tout rentre dans l’ordre, que ses élèves règlent les chamailleries des enfants et ne reprennent le cours… Extra !

Un vrai choix de vie, profond pousse Myriam, Cecile et Nadège a poursuivre dans cette voix et améliorer le « concept ». Bien sûr, elles pourraient travailler plus, gagner plus d’argent . Bien sûr, il faut faire quelques sacrifices, pas de rdv coiffeur, pas de rdv esthétique, pas beaucoup de shopping… Mais pour elles le bonheur c’est d’offrir à leurs enfants cet accompagnement du quotidien, c’est être présentes aux instants clefs de leurs journées ; ça n’a pas de prix. C’est leur véritable richesse. Un choix mûrement réfléchi, pour elles, leurs conjoints et leur famille.

En fédérant leurs énergies et en fondant leurs emplois du temps, elles arrivent aussi à rompre l’isolement que peuvent ressentir parfois les femmes, ou les hommes (il y a en aussi) qui décident de rester au foyer le temps que leurs enfants grandissent. Une solitude provoquée par les systèmes de vies de nos sociétés occidentales et dites modernes.

Entre amie comme entre soeurs autrefois, moins seules au jour le jour, elles renouent avec ce goût de la communauté, du vivre ensemble, du partage et de l’échange puisé sans doute dans leurs racines et leurs expériences de vie.

Rompue aussi l’idée reçue que les femmes au foyer n’ont rien dans le citron et ne font pas grand chose de leur vie. En alternant les tours de garde, les gouters, les allers-retours aux activités, ces 3 là continuent de faire vivre et de pratiquer leurs activités professionnelles sur les temps libérés par leur organisation commune.

Ainsi loin des leurs, au cœur du village, elles se sont ainsi recréé un univers sécurisant de grande famille. Le constat est enthousiasmant : elles sont épanouies, en équilibre subtil entre mère et femme et les enfants sont tranquilles et heureux!

Rien de bien nouveau dans tout cela penserez vous peut être. Oui en effet les femmes ont depuis toujours su s’entraider en famille autour de la maternité. Mais ici rien n’est subi, tout est choisi et réfléchi. Quelque chose de l’ordre du bon sens ancestral mais de résolument moderne aussi et créatif. 

Elles n’étaient que 3 ce soir là, après le coucher des enfants, autour d’une tasse de tisane brulante pour accueillir Bio dans nos vies, mais elles le sentent l’energie est là pour que d’autres cercles, comme le leur, naissent ici ou ailleurs. Pour que vive la créativité feminine sans sacrifier l’envie de s’occuper le plus possible des enfants et de répondre à leurs besoins.

3 femmes, riches et belles de leur détermination heureuse, à découvrir chez nous. Chacune pratique et propose son art au village.

Contacts :

Myriam, séance de massage Shiatsu sur rdv: 0687715422            espace.sozen@gmail.com

Cecile, bijoux: 0637560660   cecile.lema@gmail.com       

Nadège: 0649959354    nrostan@mail.com

Merci Myriam, Cecile, Nadège. Tout est beaucoup plus simple et chaleureux ensemble 🙂

Erika DCR pour Bio dans nos vies.

 

La contraception

Sea, sex and sun…. C’est l’été ! On ne compte plus le nombre de fois où on l’a entendu ce refrain…Vive les chaudes soirées………… et la contraception !… Ca y est, les sourires disparaissent… Oh, mais t’es pas marrante. Ca aussi on l’a entendu souvent ! Ben, c’est peut-être pas marrant mais responsable. … Vous êtes prêt(e)s, youpi, on y va :

Le préservatif masculin de bonne qualité… Oups, non, j’en parlerai plus tard de celui-là. Je ne veux pas vous braquer tout de suite !!!

La pilule féminine

Voilà l’invention qui plaît aux hommes : entière responsabilité aux femmes, qui encaissent les désagréments qu’elle occasionne sur leur organisme. Et s’il y a un couac, la question est toute trouvée : « Ben alors, t’avais pas pris ta pilule ?… ».

La pilule féminine, qui bloque tout simplement le cycle hormonal féminin, présente toutefois certains avantages : fiable dès le 1er comprimé, à condition de la prendre consciencieusement tous les jours, elle permet aussi de prévoir la date des règles. La diversité permet de trouver (normalement) une pilule sans effets secondaires (ou presque, faut pas rêver). Petite liste non exhaustive : Prise de poids (la pilule augmente l’appétit), jambes lourdes, acné, saignements, seins gonflés, migraines, varices, hypertension, baisse de libido, dépression, thrombose…

Les contre-indications restent nombreuses, même avec les pilules micro dosées. À ne pas prendre en cas d’hypertension, de diabète, de certains cancers, de cholestérol trop élevé, de risques de phlébite, d’embolie pulmonaire, de maladies hépatiques graves….. La liste est encore longue, sans compter que pour les fumeuses, le risque de développer une maladie cardiovasculaire est multiplié par 20 et augmente avec l’ancienneté.

On se sent aussi obligé de parler des scandales concernant les pilules de 3eme et 4eme générations (risques accrus de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire – un caillot obstrue les vaisseaux dans les poumons) et plus particulièrement de l’AVC (accident vasculaire cérébral) provoqué chez une jeune femme en 2012. Déremboursées à partir de 2013, leurs ventes ont chuté et ne représentent plus que 25% du marché.

En plus de tout ça, la pilule contraceptive ne protège absolument pas des maladies et infections sexuellement transmissibles.

On zappe la pilule du lendemain qui ne doit pas être considérée comme un moyen de contraception. C’est uniquement dans les extrêmes urgences, qu’on se le dise une bonne fois pour toute, tout comme l’ivg d’ailleurs.

Des chercheurs de Berkeley en Californie travaillent sur la mise au point d’une pilule sans hormone, dont les principes actifs sont tirés de plantes : la pristimerine (provenant de la vigne chinoise du tonnerre divin) et le lupéol (se trouvant dans la mangue, l’olive, l’aloe vera ou la racine de pissenlit). Déclinée sous forme de pilules, anneau vaginal et de patchs, elle serait aussi utilisable par les hommes !!!!!!

Le Risug

Késako ? Cette substance, expérimentée maladroitement dans les années 90 en Inde, a eu ses tests suspendus puis repris à partir de 2006, jusqu’à la mettre au point. Il s’agit d’une substance injectée dans le canal déférent de la verge. Le gel tapisse les parois du canal. Lorsque les spermatozoïdes entrent en contact avec les molécules actives de ce gel, ils se retrouvent dans l’incapacité de se mouvoir correctement. Il leur est donc compliqué d’aller féconder l’ovule ! La durée d’une seule injection serait de 10 ans. L’action serait réversible en injectant une autre substance neutralisante. Malheureusement boudée par les laboratoires pharmaceutiques, l’inventeur a demandé de l’aide à une organisation américaine, qui peine encore à trouver des fonds pour approfondir les tests (le renommant Vasalgel). On se demande pourquoi sachant que ces mêmes labos sont tous dirigés par des hommes… !!!!

Tout comme la pilule, le Risug ne protègerait pas des maladies et infections sexuellement transmissibles. Des études sont cependant en cours pour tester l’impact du gel sur le virus du Sida.

Le patch

Même principe et inconvénients que la pilule, sous forme de patch, ce qui résout les oublis ou les erreurs d’utilisation qui peuvent exister lorsqu’on prend la pilule. Maigre consolation quand on sait que le patch, comme les pilules de 3eme et 4eme génération, présente un risque de thrombose accru, qu’il peut se décoller, est peu discret et contribue de toute façon à envoyer des substances chimiques qui interfèrent avec le système hormonal du corps. Tout comme la pilule, la femme perd l’écoute de ses rythmes naturels. De plus, les patchs utilisés et jetés contiennent encore des hormones que l’on retrouve ensuite dans le milieu naturel (eaux principalement) puisque les centrales d’épuration ne peuvent pas les traiter.

Tout comme la pilule, il ne protège pas des maladies et infections sexuellement transmissibles.

L’implant

Posé sous la peau interne du bras pour 3 ans, le principe est le même que la pilule ou le patch, en plus discret. La formule idéale ? Et non, tous les effets secondaires sont toujours présents, voire amplifiés.

Sans parler des implants posés au niveau des trompes de Fallope. Pose rapide en passant par les voies naturelles, sous anesthésie locale. Dans les mois suivants, certaines femmes ont cru « mourir » : amaigrissement, fatigue, dépression, migraines, douleurs musculaires et articulaires dans des proportions inacceptables selon certains praticiens. Un registre a d’ailleurs été ouvert par le CNGOF (Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français) pour que les praticiens fassent remonter les informations qui seront étudiées.

Des plaintes ont même été déposées contre le laboratoire Bayer ; la procédure est en cours.  Leur vente vient d’être suspendue pour 3 mois dans l’union européenne.

Les implants, dans le bras ou les trompes, ne protègent toujours pas des maladies et infections sexuellement transmissibles.

Les stérilets (dispositifs intra-utérins)

En forme de T, ils sont posés dans l’utérus par un médecin ou une sage-femme et peuvent être gardés entre 4 et 10 ans selon le modèle.

Comme son nom l’indique, le stérilet hormonal diffuse des hormones, avec les mêmes inconvénients que précités, parfois atténués. Certaines femmes n’ont même plus de règles. De nombreuses utilisatrices du stérilet Mirena pointe du doigt les nombreux et importants effets secondaires. 

Le stérilet au cuivre a l’avantage de ne pas contenir d’hormones. Par contre, il peut rendre les règles nettement plus longues et abondantes. Les contre-indications sont assez nombreuses : malformations de l’utérus, cols trop ouverts (c’est le cas des femmes ayant eu de nombreux enfants), fibromes, cancer de l’utérus ou de l’endomètre, infections génitales, saignements vaginaux inexpliqués…

Un stérilet différent : La boule de cuivre. Sans hormones et posé pour une durée de 5 ans, il est composé de plusieurs perles de cuivre non agressives pour la muqueuse et d’un alliage à mémoire de forme, utilisable même chez les femmes n’ayant jamais eu d’enfant. Commercialisé en Suisse et dans d’autres pays, il ne l’est pas encore en France. Peu de retour, qui semblent dans l’ensemble satisfaisants après une période d’adaptation.

Quel que soit le modèle, les stérilets ne protègent toujours pas des maladies et infections sexuellement transmissibles.

Diaphragme, cape cervicale, préservatif féminin, spermicides

Moyens locaux, ils se glissent dans le vagin, au contact du col de l’utérus, doivent systématiquement être posés avant chaque rapports (ou quelques heures avant), et par mesure de précaution, être conjointement utilisés avec un spermicides.

Le diaphragme et la cape sont réutilisables, mais doivent être soigneusement lavés et stockés.

Il existe des éponges imprégnées de spermicides, plus commodes d’utilisation.

Ces méthodes nécessitent une lecture attentive de la notice d’emploi car leur efficacité dépend surtout de la bonne utilisation !

L’avantage est qu’il n’y a pas de présence d’hormones et que la femme peut donc avoir un cycle hormonal tout à fait naturel. Certaines allergies sont cependant possibles.

Quel que soit le modèle, ils ne protègent toujours pas des maladies et infections sexuellement transmissibles sauf le préservatif féminin bien utilisé.

Attention : le préservatif féminin ne doit pas être utilisé en même temps qu’un préservatif masculin !

L’abstinence dans les périodes critiques

 😀 😀 😀  Pourquoi vous râlez ?!!!! Alors là, c’est carrément efficace, sauf quand on a un rapport juste au mauvais moment car le cycle est irrégulier.

La méthode Ogino a été très en vogue à une époque, les bébés Ogino aussi ! Et ça ne protège toujours pas des maladies et infections sexuellement transmissibles. Donc, on oublie.

Le retrait

Très en vogue… Mais puisque je te dis que je maîtrise et que je me retirerai….. Ca on connaît aussi… et le nombre de naissances ou d’ivg qui y sont liées un peu moins…C’est un peu comme les bébés Ogino. Et encore une fois, ça ne protège pas des maladies et infections sexuellement transmissibles.

Le préservatif masculin de bonne qualité, et oui, j’y reviens !

Pourquoi avoir voulu citer celui-ci en premier, parce qu’il regroupe de nombreux avantages : ce n’est pas un médicament, il est local, et correctement utilisé, il protège non seulement des naissances non désirées mais en plus, des maladies et infections sexuellement transmissibles tout en respectant l’intégrité de l’organisme, et ce n’est pas rien. Savoir que les jeunes rechignent de plus en plus à l’utiliser, se croyant au-dessus du Sida, on râle, nous les mamans. Quand on sait qu’il n’est cité qu’en 11eme position sur le site Choisir sa contraception… Vous rirez moins messieurs en voyant que le 2eme moyen cité sur ce site est la stérilisation masculine (qui n’empêche pas les maladies et infections sexuellement transmissibles, soit dit en passant).

Bref, vous l’aurez compris, notre préféré reste le préservatif de bonne qualité. Il y en a pour toutes les tailles, de différentes épaisseurs (pour les plus sensibles) et pour tous les goûts (c’est le cas de le dire !), alors amusez-vous !

Et pour celles et ceux qui veulent aller un peu plus loin dans la réflexion, au-delà de la contraception, il est important de renouer avec l’importance de l’enfantement à tous les niveaux. Quand on dit que la période entourant la grossesse devrait être un moment privilégié et protégé, on n’exagère en rien. Des chercheurs ont mis en évidence la transmission sur 3 générations des traumatismes par l’épigénétique.

Très bonne émission de radio sur France culture avec Isabelle Mansuy, neurogénéticienne à l’université de Zürich, en cliquant ici

La psychogénéalogie l’étudie aussi, avec la transmission par l’ADN des secrets de famille qui se réactivent pour être mis en lumière et reconnus.

Bel été à tous 😀

                                                                                                                     Nathalie MJ pour BdnV 

Le lait maternel au fil des saisons

Les 9 mois de grossesse arrivent à terme et bébé, tant imaginé, espéré, attendu, arrive….

Une question va alors se poser pour la maman: dois-je allaiter ou préférer le biberon?

Dès son premier jour, bébé, lui, a choisi!

À la naissance, un des premiers réflexes de l’enfant lorsque la sage femme le pose sur le ventre de sa mère est de se hisser vers le sein pour téter;

et il a bien raison! 

Le lait maternel est en effet un aliment d’une richesse exceptionnelle, à la fois vivant, changeant et parfaitement adapté aux besoins nutritionnels de bébé.

Du premier au cinquième jour, le liquide sécrété par le sein est appelé colostrum. Très riche en protéines, il contient également de grandes quantités d’anticorps pour éloigner tout risque infectieux.

Les 10 jours suivants vient le lait de transition qui contient moins de protéines pour laisser place à plus de lactose.

Enfin, au bout de 15 jours, le lait se stabilise et favorise, par sa contenance, le développement de la flore intestinale. Il fournit également au nourrisson de nombreuses substances immunitaires.

S’il varie au fil des tétées et des jours, le lait maternel évolue aussi au cours des saisons. Plus riche et épais en hiver, il sera plus liquide et riche en eau pour éviter tout risque de déshydratation en été. De température toujours idéale, le lait maternel va évoluer en parfaite adaptation avec les besoins des premiers jours de Vie de bébé.

Vous l’aurez compris, l’allaitement est un cadeau magnifique à offrir à son enfant, mais il est aussi le moyen de passer des moments de douceur et d’intimité uniques et irremplaçables.

Les échanges qui se nouent lors de la tétée resteront à jamais inscrits dans le système émotionnel et sensoriel de maman et bébé.

Virginie

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Cet article est dédié à Justine

La cuisine des couleurs!

Sur le marché, de nombreux livres vous proposent des recettes nouvelles gourmandes et originales. Elles combinent équilibre, santé, couleur et goût. Valérie Cupillard cuisine les produits de l’agriculture biologique depuis déjà 20 ans et accompagne ses lecteurs à travers son blog à succès  : www.biogourmand.info. Plein de couleurs pour égayer les repas de nos amours, retrouver le goût des bonnes choses et pour garder un poids forme après les grossesses en respectant les saisons et les régions.couvcbf

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On s’est inspirées des recettes de Valérie Cupillard pour concocter des purées et des soupes pour bébés.

 

Salut les grands BéBés

 

 

Salut les grands bébés, on va faire pour vous un récapitulatif de conseils  pour mieux commencer dans la vie d’un point de vue de l’alimentation et des précautions à prendre pour votre bonne santé !

 

Avis aux mamans et aux papas !!!! Vous qui vous avez décidé de prendre soin de vous, de votre bébé en changeant le mode d’alimentation, notez: ce n’est pas si difficile. Il est vrai que cela peut paraître complètement infaisable les premiers temps, mais vous verrez que ce n’est pas du tout compliqué !

 #Lisez les étiquettes des emballages une bonne fois pour toutes et faites le tour de vos achats habituels pour évincer les additifs, les conservateurs et les colorants, les polypropylènes, les aliments transformés industriels.

 #Pour les biberons et tétines, la mention sans BPA ou BPA free vous garantie l’absence  de BISPHENOL A, une matière qui au réchauffement devient toxique et perturberait le système endocrinien. Idem pour les contenants des petits plats à réchauffer au micro-ondes. Mieux vaut enlever les aliments et les réchauffer dans un plat sans plastique.

 #Au four, utilisez plutôt du papier sulfurisé; il offre une parfaite protection des surfaces de cuisson et sans beurre sans huile. Idéal pour les papillotes. L’utilisation du papier d’alu entraine la migration des particules d’aluminium vers des produits alimentaires et donc vers l’organisme.

 #Pour les boissons, préférez l’eau car il ne faut pas donner le goût du sucre aux enfants. L’obésité est multifactorielle bien sûr, mais les boissons sucrées sont montrées du doigt par la médecine.

 #Pour les biscuits industriels, choisissez les sans huile de palme, sans colorants, ni conservateurs (produits le STER ou LA VIE CLAIRE). L’idéal est un gâteau fait maison qui peut se conserver quelques jours pour les goûters.

 #Les farines, choisissez les non raffinées, car le raffinage détruit l’enveloppe des céréales, tous les minéraux associés et le germe. Être rempli ne signifie pas être nourri. Ces produits ne contiennent plus d’élément vivant et le métabolisme ne les reconnait pas. Quand il sera en âge d’en manger, l’idéal est d’acheter des farines bio semi-complètes, des pâtes bio semi-complètes et du riz bio semi-complet pour la digestion des bébés. La farine de riz fait des crêpes et des gâteaux excellents. Le riz bio est très digeste, sans gluten bien sûr ! Attention, les pesticides se concentrent surtout dans les écorces des céréales. Il est donc recommandé de ne pas consommer de pain complet s’il n’est pas bio.

 #Achetez vos légumes biologiques grâce à une AMAP près de chez vous,  vous encouragerez l’agriculture bio, préserverez les emplois des agriculteurs, et respecterez le cycle des saisons en consommant fruits et légumes exempts de pesticides. RESEAU AMAP

#Dans les grandes surfaces, achetez les bio oui, mais en provenance de France. Evidemment il n’y a pas beaucoup de choix en hiver, mais c’est dommage de consommer des fraises qui viennent des cultures intensives espagnoles en plein mois de janvier. De plus, consommer des fruits et légumes de saisons répond harmonieusement aux besoins de l’organisme. Apports plus calorifiques dans les fruits et légumes d’hiver pour faire face au froid et apports  plus légers et hydratants dans les fruits et légumes d’été pour accueillir la chaleur.

 #Les poissons c’est plus compliqué ! Le poisson certifié bio est issu d’un élevage de haute qualité. Il est élevé dans un bassin où il a de la place contrairement aux poissons stressés dans les cages surpeuplées. Il y a des poissons que l’on ne doit pas du tout consommer … Faites vous une idée, cliquez sur:  

 #La viande c’est toute une réflexion en amont. Il faut en consommer avec parcimonie, pour plusieurs raisons:

        1/ Pour la santé, quelques grammes suffisent aux bébés et pas tous les jours. Choisissez-la avec le label rouge si possible ou issue de l’agriculture bio, préférez les petits producteurs dans vos régions qui élèvent des boeufs, des poules, des agneaux et garantissent une alimentation raisonnée voire bio ; ils sont aussi préoccupés par le respect de l’animal, et l’abattage sans souffrance.

 Voir «COOP des Baous» (cliquez sur la vidéo), excellente démarche de vente DIRECTE entre petits producteurs.

    2/ Parce qu’on s’inscrit dans une démarche globale de respect de l’environnement : 78% des terres agricoles mondiales sont utilisées pour nourrir les animaux d’élevage. Il faut 10 kilos de végétaux pour obtenir 1kilo de viande et 25 000 litres d’eau pour produire 100 grammes de boeuf. De plus l’élevage représente 18% des émissions de gaz à effet de serre (source ONU)

 #Lisez les étiquettes pour tous les produits d’hygiène bébé; ils sont souvent constitués de polypropylènes glycol et autres parabens dangereux pour leur santé. Préférez les produits bio, comme Welleda dans les parapharmacies, les magasins bio. De nombreuses marques de supermarchés font aussi des efforts afin de garantir un soin douche, shampoing, crème de change sans produit néfaste; ça vaut vraiment le coup d’éliminer les produits que l’on vous offre en maternité, ceux des marques leader du marché. Par exemple, nettoyez les fesses du bébé avec le liniment : cliquez sur la vidéo pour voir les conseils d’Estelle ! (on en trouve aussi en pharmacie)

Comme le signale le réalisateur Jean-Paul Jaud dans tous ses films :

« Nos enfants nous accuseront »

« Severn, la voix de nos enfants »

« Tous cobayes? » 

Ne rien dire c’est dire OUI.

 

Découvrez sur  le réalisateur Jean-Paul Jaud, autour d’un petit déjeuner philosophique à l’auberge des baous de Saint-Jeannet (cliquez sur la vidéo): 

Bain Caresse pour BB

Voici la vidéo d’un bain-caresse donné à un bébé par Sonia Rochel, auxiliaire puéricultrice, qui a mis au point sa méthode: « Thalasso bain-bébé », réservée aux bébés de moins de 2 mois (qui ont encore en mémoire leur vie in-utero).

La douceur de ces images remplies d’amour est touchante.

Il est déconseillé aux parents de reproduire ces gestes car le bébé peut parfois réagir brusquement. Un bain caresse ne s’improvise pas. Vous pouvez par contre contacter Sonia Rochel par mail: rochel.s@neuf.fr