Makosmé : concept de box de beauté au naturel

       Logo Makosmé - Ma box naturelle 

Il y a un avant et un après « Makosmé » !  

 

STOP aux marques bidons, au faux bio, aux ingrédients nocifs visibles et invisibles; on a besoin de clarté, de marques respectueuses et d’information ! Et à Bio dans nos vies, comme on aime partager les belles astuces et les bonnes adresses, car oui ! c’est un cadeau de partager, voici un gros plan sur Makosmé !

                  Un nouveau concept de box de beauté bio 

BDNV : Comment a commencé l’aventure Makosmé ?

Sandra : L’aventure Makosmé a commencé avec l’idée de partage et de respect. Partage de marques, que nous adorons, élaborées par des personnes engagées et passionnées. Partage aussi d’informations décalées autour de la beauté, la Nature ou la santé sur notre blog. Respect de la Nature et des Êtres qui la peuplent par des produits non testés sur les animaux, qui est un impact sociétal positif, confectionnés avec des ingrédients sains et un emballage colis biodégradable et recyclé. Le tout de manière généreuse par un format grande taille afin de tester plus longtemps le produit cosmétique et d’en apprécier les effets, faire reculer la surconsommation. Nous avons pris le pari de ne pas proposer d’abonnement afin de ne justement pas pousser à la surconsommation, mais ce point, à mon humble avis, dépend surtout du consom’acteur final qui nous dira s’il préfère ou pas que l’on mette en place un système d’abonnement.
Dans la jungle des cosmétiques, il est parfois difficile de s’orienter. Surtout de nos jours où l’on a accès à des dossiers peu valorisants pour les cosmétiques dit conventionnels et que les emballages arborent des couleurs vertes. D’où l’idée de Makosmé: découvrir et faire découvrir des cosmétiques plein d’actifs et élaborés pour avoir un impact positif et pour un résultat efficace et sans culpabiliser. Nous proposons à chaque box une routine beauté autour d’une thématique basée sur notre sélection de produits. Nous travaillons au maximum sur des marques similaires par box mais en sélectionnant des produits adaptés aux différents types de peau.

BDNV : Quelle est la mission de Makosmé ?

Sandra : Makosmé c’est la volonté de vraiment apporter du sens à notre consommation, que l’on devienne des consom’acteurs! Alors, cet éveil nous pouvons l’apporter de différentes manières, en discutant, en informant, en proposant, en s’éveillant soit même ou/et en passant à l’action. Peu importe, il y a de la place pour toutes les initiatives vertueuses. Pour chaque produits conventionnels que l’on trouve en grande surface ou/et parfois en pharmacie, il y a de nombreuses alternatives, fruits du travail engagé et conscient d’un entrepreneur.

BDNV : Sandra, vous êtes la fondatrice de Makosmé … Pouvez vous nous parler de vous plus précisément et de votre parcours ?

Sandra : Pour parler brièvement de moi, j’ai grandi avec de l’eczéma atopique sévère (donc je connais très bien le « plaisir » d’utiliser de la cortisone grâce à la Locoïd), déclarée après la naissance, donc j’ai toujours eu une alimentation diversifiée (pas de gluten ni produit laitier de la vache, vêtement en coton pendant toute ma jeunesse) et mes parents m’ont appris très jeune à « étudier » et comprendre ce que j’utilisais comme produits cosmétiques. De ce fait, j’ai commencé jeune à faire mes propres produits et à utiliser des produits basiques. J’ai bossé pendant quelques années dans l’audiovisuel, organisant et gérant des tournages en documentaire animalier, clip, télé, courts métrages engagés et gestion de tous les tournages sur une chaine Youtube, puis avec mon conjoint, nous avons décidé de revoir nos prioriétés et revenir à ce qui nous fait vibrer : la nature! De mon côté, j’ai dû faire une reconversion pro en changeant totalement de filière et en créant Makosmé et lui a retrouvé son sud. Choix pas forcément plus rentable mais qui nous permet d’agir concrètement d’une autre manière, en valorisant des marques et donc des richesses naturelles. Ce qui m’intéresse n’est pas de dévaloriser le marché des cosmétiques « conventionnels » mais d’accompagner les gens vers une autre consommation, qui a plus de sens et plus éthique. Malheureusement, beaucoup de personnes pensent encore qu’acheter un produit qui a du vert sur l’étiquette est gage de qualité et d’honnêteté. Pour détail, selon une étude anglaise (de Vaseline) sorti en 2014, dans sa vie une femme dépense 220 000€ en cosmétique non utilisé! Ce genre d’infos nous fait penser qu’il y a encore beaucoup de travail à faire et surtout beaucoup de lanternes à allumer.

BDNV : Merci Sandra pour ce moment de partage avec Makosmé ; nous invitons tous nos internautes, femmes et hommes à visiter votre blog de curiosité, il y a plein d’articles très intéressants sur des sujets très divers en plus de la variété des produits cosmétiques. Bonne chance et bravo www.makosme.com
Pour le concept Makosmé, vous pouvez le retrouver
sur la page A Propos du site Makosmé.com ainsi que 2 interviews en bas de page.

 

Pascale S pour www.biodansnosvies.fr