Une spécialiste pour venir en aide aux abeilles…

Cécile Blanche Fléché s’occupe de dénoncer les retours en arrière de l’Administration Nationale et Européenne, dans la gestion des problèmes liés aux pesticides qui tuent les abeilles.

Elle a étudié les abeilles pendant 20 ans, tarabustée au départ par une seule question réellement essentielle : qu’est ce qui fait dépérir les abeilles ?

Elle a mené des études, et les résultats de ses travaux nous intéressent car si nous voulons nous projeter dans l’avenir il nous faut nous pencher sur les abeilles et comprendre l’enjeu dont elles font partie.

 

Dans son site, Cécile nous apprend à décoder les champs lexicaux, les résultats des analyses épidémiologiques, à suivre les enquêtes, et comprendre mieux les intoxications que subissent les abeilles.

Faites un tour dans son site, qui met à notre disposition des informations certes parfois techniques, mais qui devraient nous donner envie de lutter contre les dérapages et les insistances de l’agriculture intensive, car elle a des conséquences sur la survie des abeilles, et sur la nôtre.

Cécile donne sa voix dans « la cour des contes»; on voyage en Amérique , en Afrique, en Asie dans les forets ou sur les mers avec des histoires passionnantes qui sont diffusées sur RADIO LARZAC. Cela nous donne envie d’aller cliquer avec nos enfants….

On a écouté et on a vraiment apprécié :

http://www.radiolarzac.org/sons/contes-touaregs

Rejoignons Cécile, soutenons-la.  « Bio dans nos vies » c’est aussi mettre en avant ces personnes qui mettent leur vie au service des autres, de la nature, des animaux.

http://blanche-fleche.com/terre-air-abeille.htm

http://blanche-fleche.com

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Et pour clore cet article, voici un poème envoyé par Cécile Blanche Fléché :

Dans le chaos d’un trop plein de signifiances Insignifiantes

Propagées d’ondes en réseaux Assourdissant nos sens de sens multiples

Chacun apostrophe l’autre et le ciel Pour y découvrir le repos

Mais le flot sans cesse nourri déborde Et emporte l’égaré au delà de son vouloir

Qu’il ne reconnaît plus L’abeille silencieuse, sûre de son avenir

Explore légèrement l’espace orienté Où s’explique sa vie.

Merci Cécile ! Merci à vous tous qui tentez de protéger la biodiversité.

Un voyage parmi les roses de Constant Viale

Constant Viale est un berger des fleurs comme il aime à se définir lui-même. Nous l’avons rencontré dans les allées odorantes de ses roseraies au pied de Grasse. Ses roses, comme ses tubéreuses ou son jasmin, sont des plantes d’exception qui ont attiré les spécialistes des grandes marques de parfum. Nous avons été très touchées par sa poésie, son regard sur la nature et le monde. 

Economies et restrictions d’eau

                                                               Economies et restrictions d’eau 

 

 

Il existe plusieurs seuils d’alerte pour les restrictions d’eau :

 Seuil de vigilance :  Le Préfet demande aux citoyens de faire des économies d’eau par exemple de préférer la douche au bain, et de ne pas trop arroser son jardin.

 Seuil d’alerte : Le Préfet décide des mesures d’économie d’eau :l’arrosage des pelouses doit être fait à des horaires précis entre 20h et 10 heures du matin. Vous ne devez plus remplir vos piscines, ni laver vos voitures chez vous.

Seuil d’alerte renforcée : votre potager peut être arrosé à des horaires précis, mais l’arrosage des pelouses est interdit. 

 Seuil de crise : l’eau est réservée à l’alimentation, aux animaux et à la salubrité publique.

 Vous encourez une amende de 1 500 euros en cas de non-respect de ces restrictions.  

On peut faire de petites économies au quotidien. Quand vous attendez l’eau chaude au robinet, placez en dessous une bassine pour y récupérer l’eau froide. Puis, arrosez vos plantes, ou utilisez l’eau pour faire le ménage.

Installez dans vos jardins, sur vos balcons, sous vos gouttières, des barils, des poubelles, des bidons de récupérations d’eau de pluie pour arroser vos plantes souvent et sans frais. C’est facile, ça ne coute pas cher et c’est très écologique. 

 A savoir : 1% de notre consommation d’eau sert à nous désaltérer, 6% à faire la cuisine, 12% pour laver notre linge, 20% pour la chasse d’eau, et 39% pour notre toilette.

 Facile de voir où nous pouvons faire des économies : préférons les douches aux bains, coupons l’eau en nous savonnant. On peut installer des ustensiles au pommeau de douche qui permettront de réduire le débit de l’eau, et installer une chasse à double commande.

 L’eau est un bien précieux, ne la gaspillons pas !

 Pour faire une piscine écologique, cliquez !

http://piscines-ecologiques.net/autoconstruction-piscine-naturelle/


 

 

 

 

Troc de graines!!!

Graines de troc

échanger gratuitement ses graines, des plus communes aux plus anciennes en passant par les plus étonnantes et les inconnues, voilà ce que propose Graines de troc en quelques clics seulement. Une démarche sympathique, efficace et gratuite pour vivre un autre mode d’acquisition que l’achat en défendant par là même la transmission et la biodiversité.

Entrez dans l’univers de la graine, source de vie -cliquez-

Les balcons font la fête !

 

Les balcons font la fête des fleurs

Levez les yeux, les citadins !!!

De plus en plus souvent les balcons sont fleuris. Est ce le signe d’un besoin d’oxygène, d’espace coloré, d’activité artistique? 

De tout cela mélangé. Si les habitants des villes sont sans doute en manque de vert, de nature, et de dose de chlorophylle, on a constaté que  les livres et les sites concernant le jardinage les balcons et les terrasses prolifèrent. C’est tendance et c’est tant mieux !

Dans les villes et les villages, on propose aux habitants de fleurir leurs fenêtres, leur rue, leurs balcons et ainsi participer à la beauté de leur commune. Cela crée un lien social, favorise la prise de conscience du respect de l’environnement, et c’est un levier  pour valoriser la qualité de vie des habitants ou des touristes. Certaines villes, certains villages ont même obtenu le prix du concours Villes fleuries.

Espérons que le règlement sera de plus en plus drastique concernant les choix des fleurs             nécessitant peu d’arrosage, interdisant tout pesticide et engrais chimiques. 

Sur notre balcon, on peut mélanger les variétés de fleurs, sauvages, grasses, plantes vertes. L’important est de respecter l’harmonie de couleur et de les arroser régulièrement.

Récupérez l’eau dans une bassine au quotidien pour arroser vos fleurs. Il n’y a pas de petite économie !!!!

Soyez fous, inventifs, créatifs et demandez aux enfants de vous aider. Ils sont terriblement artistes en matière de jardinage. Ils adorent toucher la terre et l’eau, patouiller et planter. Suivre l’évolution de ses plantations c’est constructif et valorisant. Il existe dans le commerce un pack pour les enfants à partir de 6 ans. Le coffret ludique « découvrons le potager » contient une bande dessinée de jardinage, des étiquettes, un tablier, et des graines de carottes, tomates cerise, laitue, radis.

 Au sud, privilégiez les plantes comme le thym, la verveine, les plantes grasses, pour une exposition à l’ombre, choisissez plutôt des phlox et réhabilitez les oeillets.

Pensez aux arbres miniatures comme les figuiers, pruniers, cerisiers pour les balcons exposés au soleil et framboisiers pour ceux qui sont à l’ombre. A vos marques? Prêts ? Plantez !!!

Des fleurs à offrir ou à savourer :)

Offrez des fleurs blanches car le blanc est symbole de pureté, de raffinement et d’élégance spécialement si vous voulez faire plaisir à une jeune fille.

Offrez des fleurs jaunes pour évoquer le talent artistique, le bonheur, le soleil.

Du violet pour dire son amour discrètement

Du rose pour l’amitié, la tendresse, l’affection

Du orange pour incarner un amour fort et heureux

Du vert vif pour signifier votre confiance en la personne

Du rouge pour faire une déclaration d’amour passionnée

Plus la couleur de la fleur est pâle plus le sentiment se veut léger, discret, les tons plus soutenus, les couleurs vives décuplent la force de sentiment ou de l’émotion. 

Attention les couleurs sombres signifient la tristesse.

Vous savez sans doute que les fleurs coupées ne s’offrent qu’en nombre impair, mais les roses s’offrent en nombre pair :

12 pour un remerciement, 24 pour être galant, 36 pour déclarer son amour!

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Mais on pourrait aussi imaginer déclarer son amour ou sa tendresse en préparant un dîner floral !!!

Salade de tomates concombres et primevères :

20 fleurs de primevère (feuilles jeunes, et fleurs)/1 belle salade mâche/1 tomate/1 concombre /Feuilles de menthe. Retirer les graines de la tomate et du concombre, coupez les en petits dés. Ajoutez cela à votre mâche, et assaisonnez à l’huile d’olive. Ajoutez au dernier moment,  la menthe coupée et les primevères. Un régal !

 

Gâteau aux pétales de roses :

1 verre de pétales de roses rouges/2 oeufs/80 gr de sucre/80 gr défaire/1dl de lait/ 1 cuil à soupe de beurre1/2cuil à café de vanille/ un peu de sel/ du sucre glace/ 1sachet de levure bio.

Hacher les pétales, chauffer le lait, ajouter le beurre. Battre les oeufs avec la vanille et le sucre, et verser la farine, la levure et le sel sur les oeufs. Ajouter le lait et les pétales. Versez dans un moule beurré, et cuire à thermostat 7 pendant 25 minutes. Faites un glaçage à base d’eau de sucre glace et ajouter un colorant naturel rose. Décorer avec des roses fraiches en bouton et régalez-vous !

Soupe d’ortie :

Épluchez 2 gousses d’ail et 1 oignon, coupez les en morceaux. Faites les revenir. Rincez 500 grs d’orties. Ajoutez les orties au mélange et faites les cuire sans les griller. Ajoutez  3/4 de litre d’eau et un cube de bouillon.

Dans le 1/4 d’eau restant, délayez 45 grs de crème et ajoutez la à la soupe. Faites cuire un bon 1/4 d’heure. Lorsque c’est cuit, mixez la soupe.

L’ortie est une plante ancestrale presque « miraculeuse », elle redonne de l’énergie et de la vitalité. Elle renforce le système immunitaire affaibli, car elle est riche en vitamines (A B C E K), en minéraux (silice, fer et magnésium), en oligo-éléments (cuivre, zinc) et chargé en protéines.

Préparez une sauce vinaigrette originale :

Sur une salade roquette, versez une vinaigrette à l’huile d’olive, dans laquelle vous aurez mélangé du sel du poivre, du sirop de violette et de la cardamome. Disposez les fleurs de violette sur votre salade au dernier moment. Bon appétit 🙂

P.S pour biodansnosvies.fr

Formation pour cultiver votre jardin

 * Nouveau * 

Les Jardins du Loup proposent des formations pour cultiver votre jardin (extérieur et intérieur !)  en-sol ou Hors-Sol, au jardin ou en ville, de manière naturelle et respectueuse.

(Tarifs : de 30 à 50€ en fonction des modules)

 

Les rendez-vous réguliers :

• Ateliers jardinage collectif hors sol à Grasse: rendez-vous tous les après-midi les lundi, mercredi et samedi

Bruno vous attend sur le toit-Jardin du parking Martelly à Grasse pour jardiner ensemble, apprendre à construire des systèmes potagers hors sol, partager des instants conviviaux dans un lieu étonnant au coeur de la cité Grassoise… 

 

• Jardin Naturel Participatif Permaculturel : 2 options pour nous rejoindre…

1/ En semaine, Emilie accueille avec plaisir votre aide au JNPP (Jardin Nourricier Permaculturel et Participatif). Vous participez aux divers travaux du jardin naturel : du semis aux plantations en passant par la préparation des parcelles aux futures cultures, vous apprenez, échangez ou apportez votre savoir sur les pratiques agroécologiques que nous employons aux Jardins du Loup.

 

2/ Un dimanche sur 2 : Jardin Ouvert

Ensemble, on bricole, on jardine, on construit, on expérimente au jardin et on partage dans la bonne humeur ! 

(voir toutes les dates)

Appel aux jardinier(e)s : En pleine période de plantations, le Jardin Nourricier Permaculturel et Participatif a besoin de vos énergies afin de mettre en terre les légumes fruits, racines, feuilles et autres plantes aromatiques qui arrivent à maturité à la serre !

RDV pour planter et récolter en semaine et 1 dimanche sur 2  !!!


 • Les journées Formations des Jardins du Loup :

   Samedi 26 avril : Il reste une place pour le module de formation N°4 « INSTALLER LA BIODIVERSITE AU POTAGER ».

 

   Samedi 24 mai : Il reste 2 places pour le module de formation N° 5 : RENFORCER L’EQUILIBRE BIOLOGIQUE AU POTAGER ; La santé des plantes et la préparation de remèdes naturels.

35€ la journée

Les rendez-vous ponctuels et ateliers thématiques : 

• Samedi 3 mai  :  Atelier /formation à l’autoconstruction d’une ruche Warré est complet

• Samedi 10 mai : A la découverte des plantes populaires de nos jardins – Balade/rencontre avec Yvette Tamagno : 

Nous avons beaucoup de chance : Yvette nous invite dans son magnifique lieu pour nous faire découvrir les vertus et les petites histoires des simples, ces plantes populaires et précieuses qui peuplent nos jardins méditerranéens et offrent depuis toujours la « Pharmacopée des pauvres »….

Avec son enthousiasme légendaire, elle vous fera partager l’expérience qu’elle a glanée tout au long de sa vie de paysanne et vous confiera tous ses secrets sur les plantes médicinales et aromatiques qui peuplent son jardin face à la mer.

35€ la journée – Auberge espagnole à midi.

Places limitées : réservation avec chèque de 10€ d’acompte

• Samedi 17 mai : Atelier « jardinage hors-sol » de 10h30 à 12H

 et 

• Dimanche 18 mai :  Atelier « conception de jardinière hors-sol »  de 16h à 18h :

 >> Ces ateliers ont lieu pendant la manifestation «  Biot Nature & Environnement « (Voir le programme complet)

Venez apprendre à construire des bacs potagers autonomes hors-sol pour jardiner au naturel, même sans jardin ! 

Nous construirons des systèmes potagers pour cultiver des légumes sur votre balcon… à partir de matériaux de récupération détournés des déchetteries.

Les 10 systèmes auto-construits pendant l’atelier du 18 mai seront offerts aux participants (priorité aux habitants d’une des communes des territoires de la CASA).

Atelier gratuit ouvert à tous. Préinscriptions par mail ou téléphone (environnement(a)biot.fr ou 04 93 65 78 88). 

 

En juin, 2 dates à noter déjà :

• Le 14 juin, un atelier pour apprendre à brasser sa propre bière maison !  (avec modération ;-)) 

• Le 21 juin, Assemblée Générale annuelle à 15H30 

(vous pouvez adhérer ou réadhérer et soutenir nos actions en téléchargeant le bulletin d’adhésion 2014)

Et après l’AG, fête du Solstice d’été !

Une grande fête pour célébrer le jour le plus long de l’année. Avec de la musique et des bonnes choses à partager. Des jeux, des surprises, l’esprit en fête…

Retrouvez tous ces événements et bien d’autres à venir sur notre agenda

 

Suivez-nous sur notre site et sur Facebook

 

A bientôt pour de nouvelles aventures potagères !

L’équipe des Jardins du Loup

Association pour le développement de l’agroécologie et la permaculture
www.lesjardinsduloup.fr – lesjardinsduloup@gmail.com 
tél. : 06 15 13 88 89

 

Les Jardins du Loup : 166 chemin du Figueret 06620 Gourdon

Des jardins ouvriers aux jardins partagés!

Petit retour sur l’histoire:

  Dans le nord de l’Europe, à la fin du XIXe siècle des philanthropes mettaient gratuitement des lopins potagers à la disposition des plus pauvres afin qu’ils puissent  s’alimenter, et aussi pour leur permettre d’avoir un coin où prendre l’air.

    En France dans le Nord, c’est en 1896 que l’Abbé Lemire (à qui l’on doit aussi pour les travailleurs : le repos hebdomadaire du dimanche, la semaine à 60 heures, la journée à 11heures, la réglementation du travail de nuit des femmes er des enfants et l’allocation aux familles d’au moins 3 enfants) fonde la «ligue du coin de terre et du foyer» et les premiers jardins ouvriers.

 

 

 

La popularité de la Ligue atteindra son apogée lors de la Première Guerre mondiale (1914-1918).

Les jardins seront un remède efficace à la pénurie alimentaire.
Mais d’autres types de jardins verront également le jour :

 jardins militaires, jardins d’hôpitaux, jardins pour réfugiés, jardins scolaires, jardins de patronage, jardins pour anciens combattants…

La crise économique des années 30 favorise la création de nouveaux jardins.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), les jardins ouvriers connaissent un nouveau bond en avant. A noter qu’ils serviront également à étayer l’idéologie pétainiste, comme en témoignent les actualités cinématographiques de l’époque, qui vantent les mérites des jardins du Maréchal, travail, famille, mérite…

Après-guerre, le retour à la vie normale et les besoins alimentaires étant comblés, les jardins connaissent une certaine désaffection.

L’urbanisation galopante des années 60 marquera leur déclin.

    Dans les années 70 aux Etats-Unis , une artiste Liz Christy, triste de voir les terrains vagues de Manhattan abandonnés lance le mouvement « los guerilleros verts ». Ils vont initier les jardins communautaires et les « bombes de semences » pour exploiter et refleurir les terres  en friche de leur quartier.

     C’est dans les années 80 que les MIF (Micro-Implantation Florale), initiées par Bernard Maret, germent sur les trottoirs de Lyon. Les Anges Gardins Ch’timi lancent les premières bombes à graines pour fleurir les friches par dessus les clôtures. Et   doucement les jardins partagés ou communautaires, héritiers des jardins ouvriers réapparaissent, autour des villes.           

   Les années 90 sont le véritable relancement des jardins urbains et aujourd’hui on connait plusieurs sortes de jardin à visée collective ou plus individuelle mais qui répondent tous aux objectifs tels-que :

– la rencontre de gens de tout âge, de toute condition et classe sociale et ethnies différentes,

-l’exercice et la détente en plein air

-la mise en pratique des connaissances et des goûts,

-le partage du savoir et l’entraide,

-le développement de la fierté des jardiniers,

-la récolte de fruits et légumes plus frais et meilleurs au goût,

-la possibilité donnée à la tradition agricole de perdurer à travers les générations. 

 

 

 

 

 

 

D’autres encore, dit jardins d’insertion », proposent une activité de production afin de favoriser l’insertion sociale et/ou professionnelle de personnes en difficulté exclues du marché de l’emploi. Ils se présentent le plus souvent sous forme de parcelles collectives mais ils peuvent aussi être cultivés sous forme de parcelles individuelles.

Les jardins d’insertion ne sont pas exclusivement agricoles ou voués à une production légumière, on trouve aussi parmi eux des jardins ornementaux, patrimoniaux.

Quelques soit la formule ces terrains sont le plus souvent municipaux et l’organisation de gestion est associative.

Pour en savoir plus :

 http://jardinons-ensemble.org/ iles de France

http://lepassejardins.fr/spip.php?page=sommaire Rhône alpes 

http://www.reseaujsm.org/ jardins solidaire en méditerranée