Les qualités du Tea Tree, l’arbre à thé

Pascale Gélis-Imbert, Docteur en pharmacie, spécialiste en aromathérapie et en phytothérapie vient d’écrire un nouveau livre, « Les huiles essentielles par diffusion », uniquement en vente chez « Nature et Découverte ». Elle nous offre un article fort intéressant en ce début d’automne : les bienfaits du TEA TREE 🙂

 

    

L’huile essentielle de tea tree

 

Le tea tree ou l’arbre thé (Melaleuca alternifolia (Maiden et Betche) appartient à la famille des Myrtaceae comme les eucalyptus, le myrte ou le giroflier dont le bouton floral donne le clou de girofle. Ils fournissent, tous, de superbes huiles essentielles antiseptiques. Le tea tree est originaire du continent australien comme le niaouli (Melaleuca quiquenervia (Cav.) S.T.Blake), deux beaux spécimens du genre Melaleuca.

Le nom tea tree aurait été donné par le capitaine Cook dont les marins débarqués réalisaient une infusion, un thé, avec les feuilles aromatiques de cet arbre. Avant eux, les aborigènes les avaient utilisés à des fins thérapeutiques. La tradition voulait qu’elles soignent les rhumes, les congestions, les encombrements… Quelques siècles plus tard, les études scientifiques confirmèrent ces usages. L’huile essentielle (HE) des feuilles du tea tree sont riches en alcools terpéniques et particulièrement en terpène-1-ol-4 (40%) dont les propriétés sont anti-infectieuses (antibactérienne, antivirale, antifongique et antiparasitaire) et immunostimulantes. Utilisée par voie orale ou locale, sans effets secondaires, elle offre une importante palette de soins pour le bien des petits et des grands. Ses qualités en font une grande HE des maux d’hiver.

 

Par voie orale pour soigner une grippe ou un rhume

L’HE de tea tree tue de nombreux microbes.

La Recette : mettre 2 gouttes d’HE de tea tree sous la langue ou dans une cuillerée à café de miel de thym, 3 fois par jour, pendant 5 à 7 jours.

 

On peut ajouter 1 goutte d’HE de ravintsara (Cinnamomum camphora CT cinéol), 3 fois par jour, pour une efficacité maximale.

 

En massage, pour assainir et dégager les bronches

Ce mélange aromatique permet de dégager des bronches encombrées.

La Recette : mettre dans le creux de la main 2 à 3 ml d’huile végétale de noyaux d’abricot. Y ajouter 2 gouttes d’HE d’eucalyptus radié (Eucalyptus radiata), 2 gouttes d’HE de tea tree et 1 goutte d’HE d’inule odorante (Inula graveolens). Masser le thorax ou le haut du dos, 2 à 3 fois par jour, pendant 5 à 7 jours.

 

Un soin aromatique pour les enfants de 18 mois à 3 ans

Pour aider un enfant à vaincre une affection virale bégnine.

La Recette : dans le creux de la main, mettre environ 3 à 4 ml d’huile végétale d’amande douce, ajouter 1 goutte d’HE tea tree. Masser la plante du pied du bébé 2 à 3 fois par jour, en alternant le droit et le gauche, pendant 3 à 4 jours.

 

Un soin aromatique pour protéger la peau lors d’une radiothérapie

Avant une séance de radiothérapie cette HE sera protectrice sans diminuer l’effet des rayons.

La Recette : mettre dans le creux de la main 1 goutte d’HE de tea tree, 1 goutte d’HE de niaouli (Melaleuca quinquenervia) et 1 goutte d’HE de katafray (Cedrelopsis grevei). Passer le mélange sur la zone ciblée (en évitant les marques) avant la séance de rayons.

 

Après la séance mettre une goutte d’HE de lavande aspic (Lavandula spica) et une goutte d’HE de ciste ladanifère (Cistus ladaniferus) sur la peau lésée toutes les 10 min pendant une heure.

 

Une huile essentielle pour soigner les mycoses (pieds d’athlète).

Un soin antifongique très efficace

La Recette : mettre dans le creux de la main 2 gouttes d’HE de tea tree, 1 goutte d’HE de laurier noble (Laurus nobilis) et 1 goutte d’HE de tanaisie annuelle (Tanacetum annuum). Passer ce mélange sur les zones contaminées, 3 à 4 fois par jour, pendant 1 à 2 mois.

Une goutte d’he de tea tree pour un sourire eclatant.

L’HE de tea tree assainit la bouche et blanchit les dents !

La Recette : au moment de se coucher mettre une goutte d’HE de tea tree sur votre dentifrice et les brosser comme d’habitude ! Ne pas réaliser ce soin pendant plus de 10 jours.

Avant d’utiliser une huile essentielle, mettre une goutte dans le creux du coude. Si aucune rougeur n’apparait après 30 min, c’est qu’elle vous convient. Eviter tout contact entre une huile essentielle et les yeux. Demander un avis médical en cas de grossesse ou d’allaitement ainsi que pour les enfants en bas âge et les personnes sous traitement médicamenteux. Pour toutes les préparations, bien respecter les protocoles décrits.

 

Pascale Gélis-Imbert, Docteur en Pharmacie

 

Line Asselin ou la puissance de l’Amour

                      

Bio dans nos vies vous présente Line Asselin. Elle a publié un livre au titre phare  » Les trois alliés de la guérison intérieure » ; réconcilier le mental, l’enfant intérieur, l’âme.

Et c’est tout naturellement que nous avons eu envie de vous faire partager cette rencontre ; nous voulons tous atteindre la paix intérieure afin de diffuser autour de nous des parfums de sagesse, de  chaleur et d’amour… Line est un repère guidant, chaleureux et bienveillant qui accueille avec toute son âme l’être humain.

Bonjour Line, parlez-nous de votre démarche

Bien que je sois allée à l’Université pendant plus de 12 ans et que j’aie acquis de nombreux diplômes, ma démarche repose d’abord et avant tout sur l’objectif d’être Amour et d’insuffler l’Amour afin que ceux et celles qui s’y sentent prêts traversent les défis humains associés à notre passage sur terre les yeux et le cœur ouvert, guérissent leurs cœurs en profondeur, ouvrent pleinement leurs ailes et partagent à leur tour la puissance de l’Amour en vérité.

Persuadée qu’au cœur de notre être se trouve tout ce que nous cherchons à l’extérieur, et même plus… je me fais un bonheur de rappeler à chacun, chacune, le chemin qui mène à sa propre sagesse, à sa guérison, tout comme à sa pleine réalisation. Heureuse de partager les clés tout comme les outils qui me sont inspirés, je trouve ma gratification en étant l’instrument de l’Amour.

Témoigner de mes propres défis et détours avec humour colore aussi grandement ma démarche ! Pour avoir accompagné des milliers de personnes en fin de vie, y compris mon mari, je peux affirmer haut et clair que mon approche repose essentiellement sur « le savoir-être » puisque c’est ce que l’on a fait de ce que l’on a vécu que l’on apporte avec soi au terme de sa vie. Et, c’est aussi ce que l’on « est » qui touche l’autre afin qu’il se donne à son tour les moyens de vivre, de revivre et d’accompagner autrui à partir du cœur.

Mon approche se transpose dans différents contextes tels que la fin de vie, le deuil, la maladie d’Alzheimer, et surtout, «  le vivre conscient par la voie du cœur au quotidien ».

Comment êtes-vous arrivée sur ce chemin de vie ?

Quelle belle question ! Je dirais que « d’arriver » sur mon chemin de vie n’est plus un objectif que je poursuis. Par contre, j’ai retrouvé le bonheur de m’en rapprocher un peu plus, chaque jour. Ainsi, mon mental n’interfère pas avec ce qui voudrait se manifester en moi et à travers moi. Quand à mon âme, elle a toute la place pour exprimer la sagesse dont elle est porteuse tout comme la joie profonde qui l’habite. Vivre et accompagner de cette manière représente un pur bonheur pour moi puisque je suis alors détachée de toute forme d’attente et de résultat !

Avez-vous des dons particuliers, et que faites vous au quotidien pour entretenir cette ouverture d’esprit ? méditation, yoga, sophrologie ?

J’ai cette faculté innée de lire les âmes afin de les accompagner dans leurs passages terrestres à relever le mandat de leur incarnation humaine. Vivre en accord avec son plan d’âme, guérir de ses blessures d’amour, s’élever en conscience et renaitre à ce que nous sommes de Plus Beau et de Plus Grand sur cette planète, où il est tellement facile d’oublier l’essentiel, représente tout un défi. Accompagnée de présences de lumière, je guide les pas de celui ou celle qui est prêt à avancer dans le respect de son âme et du Grand Plan Divin. Tout cela se fait spontanément et intuitivement. Il suffit que je sois connectée à mon cœur en lien avec le Grand Cœur Divin, et que je ne sois pas « dans le chemin » de ce qui appelle à se manifester à travers moi. 

Vous vous doutez bien qu’afin de parvenir à un tel état d’abandon, de détachement et de reliance sans tomber dans l’égo, « j’en ai mangé des croutes »  comme on dit ici au Québec. Ce qui veut dire en quelque sorte que je me dois de vivre en accord avec ce que je dis et ce que j’écris. Et croyez-moi, si je suis le moindrement décalée, mon âme veille à me ramener sur la track.

Mais, rassurez-vous, je ne suis pas parfaite et loin de l’être, puisque nous sommes sur terre pour expérimenter, y compris les enseignants ! De toute manière, j’estime qu’être humainement parfait n’est pas intéressant puisque cela laisse présager que « j’y suis arrivée » et que les autres ne le sont pas. Je préfère rappeler aux gens que je suis comme eux, les inspirer à partir de mon vécu et les outiller afin qu’ils trouvent en eux ce dont ils ont besoin pour se réaliser pleinement de l’intérieur et être autonome dans leur démarche.
Afin de nourrir mon lien avec l’Amour avec un grand A, je médite, je marche en montagne, je ne mange pas de viande (parce que mon corps ne la tolère tout simplement pas) et je m’assure de vivre le plus possible en accord avec ce que je dis au quotidien.

Que vous apportent ces différentes techniques ?

Ces différentes pratiques me permettent de m’aligner, de me réaligner, de me connecter, de trouver en moi tout ce que j’ai tellement cherché autour de moi : l’amour inconditionnel et accessible en tout temps, la joie profonde, l’inspiration, la confiance en qui je suis en vérité.

Présentez-nous vos ateliers et consultations …

  • Une fois par année, au mois de mai, j’anime une retraite de 4 jours en Normandie. Le thème de cette année est : « Libérer votre potentiel d’âme ».
  • En février 2018 débutera à Paris, un nouveau groupe de formation pour les accompagnants conscients. Cette formation vise à multiplier sur terre le nombre de messagers porteurs d’espoir et d’accoucheurs du nouveau monde (soignants, thérapeutes, bénévoles etc.) qui se sentent appelés, chacun à leur manière, à soutenir avec bienveillance et puissance, le mieux-être et le renaitre que la loi du changement impose.

Divers stages d’une ou de deux journées sont proposés en fonction des besoins des organisations et des intérêts de leur réseau. À titre d’exemple à l’automne 2017, j’animerai des stages sur les thèmes suivants :

  • « Le Scan Sensoriel » (un outil d’auto-guérison et d’accompagnement très puissant)
  • «  Ouvrir ses ailes dans la confiance/sans souffrir »
  • «  Oser être pleinement Soi »
  • «  Retrouver l’équilibre au cœur de soi »

Des conférences et ateliers de 3 heures sont aussi disponibles pour les jeunes-sages et les parents conscients qui aspirent à offrir de le meilleur de soi à nos jeunes et changer le monde.

Des conférences et des cours en ligne porteront, dans les mois qui suivent, sur mes deux derniers livres : « Les 3 alliés de la guérison intérieure » et « Faire son deuil ». Le premier cours en ligne : « Retrouver sa valeur profonde » sera disponible à l’automne 2017.

Je vous suggère de consulter mon calendrier en cliquant ici : http://lineasselin.com/events/liste/

pour de plus amples renseignements.

N’hésitez surtout pas à venir vers moi si vous avez des thèmes à proposer en lien avec le « vivre et accompagner à partir du cœur. »

Quelle est votre phrase préférée ?

L’Amour peut tout et guérit tout !

Quelle est votre écolo attitude au quotidien ?

Je mange bio dans la mesure du possible. Je prends soin de ma peau avec des produits à base d’huiles essentielles. J’aime bien aussi recycler et utiliser des produits d’entretien ménager sans phosphate.

Comment peut on faire pour vous joindre et entrer en contact avec vous ?

Le meilleur moyen d’entrer en contact avec moi est de m’écrire via mon mail : line@lineasselin.com

Il est aussi possible de me contacter par téléphone au 07 63 26 35 14 lors de mes séjours en France, à raison de 4 à 5 mois par an.

Merci Line et à bientôt. 

Bio dans nos vies, Pascale S

Myriam, Cecile, Nadège, mamans avant tout mais pas que!

Elles sont trois ce soir là, après le coucher des enfants, autour d’une tasse de tisane brulante pour accueillir « Bio dans nos vies » et témoigner de leur choix d’être mère à 100% tout en trouvant des solutions d’entraide et de partage de temps libre, entre elles, pour pouvoir exercer chacune leur métier-passion.

Il y a Myriam qui après avoir eu Yanis, 8 ans aujourd’hui, et avoir quittté son job d’assistante polyvalente s’est demandé ce qu’elle allait pouvoir mettre en place pour profiter à fond de son enfant tout en développant ce qui lui tenait à cœur, le Shiatsu.

Il y a Cécile, créatrice de bijoux en métaux précieux et perles de Tahiti qui elle aussi veut être proche au quotidien de ses deux enfants, Keita 8 ans et Noé 6 ans. 

                       

Et il y a Nadège photographe et qui grâce à la photo est devenue professeur de Tai Chi. Comment? Et bien en troquant ses photos de cours d’art martiaux contre des cours de Tai chi et des formations pour obtenir son diplôme d’éducateur sportif et d’art énergétique chinois.  

Pas mal le deal ! Mais pour elle aussi, le tout est de trouver un équilibre entre sa vie professionnelle et la volonté énorme, incontournable d’être aux côtés de ses enfants, Ilhan 13 ans et Lula 7 ans, en dehors des temps scolaires. Pas évident tous les jours !

 Comment faire?

Toutes les 3 sont arrivées vers 2010 dans le village de Saint Jeannet dans les Alpes Maritimes. Elles ne se connaissent pas et ne connaissent personne. Alors comme souvent pour les jeunes parents, c’est au fil des allers et retours à l’école que va naître entre Myriam, Cécile et Nadège, une belle amitié.

Plusieurs choses les rapprochent très vite. Nadège raconte avec bonheur comment l’histoire d’amour puissante entre sa fille Lula et Yanis le fils de Myriam, les a obligées, elles, les mamans à se rencontrer. Leur goût commun pour les énergies et les arts asiatiques ouvriront la voix de leur complicité. Myriam dit aussi que c’est peut être, entre elles 3,  le fait de ne pas être tout à fait Françaises qui a accéléré l’amitié. Myriam est franco-algérienne et a vécu en Algerie jusqu’à l’âge de 24 ans. Cecile est Tanzanienne. Elle est partie de son pays à 15 ans et a habité 11 en Polynésie Française. Pour Nadège ce sont les très nombreuses années passées à vivre en communauté en Espagne, avec son mari et ses enfants, qui font qu’elle se sent de double culture, elle aussi.

Là bas, disent elles en cœur, même si elles ont chacune leur   »  » là bas », la communauté, la maternité et l’entraide entre mères et femmes est naturelle, simple. Alors sans trop de difficulté les choses se sont mises en place entre elles pour que leurs enfants ne soient jamais à la garderie après l’école même en cas d’absence d’une des mamans, pour qu’ils mangent ensemble le mercredi midi, et que les covoiturages pour les activités tournent. Mais aussi pour qu’elles puissent travailler. Petit à petit l’organisation se structure, elles arrivent à établir (enfin presque) des plannings autour de leur besoins de femmes et de leur métier et autour des besoins de leurs enfants. Le petit plus est qu’elles ont même réussi à s’organiser pour prendre des cours de chant une fois par semaine à domicile. Elles sont 5 élèves, elle viennent toutes avec leurs enfants. Les mamans chantent et les enfants jouent tous ensembles. Certes, il y a parfois des couacs dans la chorale mais aussi dans la pièce où les enfants jouent… Alors Celine Barcaroli chanteuse lyrique et metteur en scène, leur professeur et jeune maman elle aussi joue de son admirable patience, le temps que tout rentre dans l’ordre, que ses élèves règlent les chamailleries des enfants et ne reprennent le cours… Extra !

Un vrai choix de vie, profond pousse Myriam, Cecile et Nadège a poursuivre dans cette voix et améliorer le « concept ». Bien sûr, elles pourraient travailler plus, gagner plus d’argent . Bien sûr, il faut faire quelques sacrifices, pas de rdv coiffeur, pas de rdv esthétique, pas beaucoup de shopping… Mais pour elles le bonheur c’est d’offrir à leurs enfants cet accompagnement du quotidien, c’est être présentes aux instants clefs de leurs journées ; ça n’a pas de prix. C’est leur véritable richesse. Un choix mûrement réfléchi, pour elles, leurs conjoints et leur famille.

En fédérant leurs énergies et en fondant leurs emplois du temps, elles arrivent aussi à rompre l’isolement que peuvent ressentir parfois les femmes, ou les hommes (il y a en aussi) qui décident de rester au foyer le temps que leurs enfants grandissent. Une solitude provoquée par les systèmes de vies de nos sociétés occidentales et dites modernes.

Entre amie comme entre soeurs autrefois, moins seules au jour le jour, elles renouent avec ce goût de la communauté, du vivre ensemble, du partage et de l’échange puisé sans doute dans leurs racines et leurs expériences de vie.

Rompue aussi l’idée reçue que les femmes au foyer n’ont rien dans le citron et ne font pas grand chose de leur vie. En alternant les tours de garde, les gouters, les allers-retours aux activités, ces 3 là continuent de faire vivre et de pratiquer leurs activités professionnelles sur les temps libérés par leur organisation commune.

Ainsi loin des leurs, au cœur du village, elles se sont ainsi recréé un univers sécurisant de grande famille. Le constat est enthousiasmant : elles sont épanouies, en équilibre subtil entre mère et femme et les enfants sont tranquilles et heureux!

Rien de bien nouveau dans tout cela penserez vous peut être. Oui en effet les femmes ont depuis toujours su s’entraider en famille autour de la maternité. Mais ici rien n’est subi, tout est choisi et réfléchi. Quelque chose de l’ordre du bon sens ancestral mais de résolument moderne aussi et créatif. 

Elles n’étaient que 3 ce soir là, après le coucher des enfants, autour d’une tasse de tisane brulante pour accueillir Bio dans nos vies, mais elles le sentent l’energie est là pour que d’autres cercles, comme le leur, naissent ici ou ailleurs. Pour que vive la créativité feminine sans sacrifier l’envie de s’occuper le plus possible des enfants et de répondre à leurs besoins.

3 femmes, riches et belles de leur détermination heureuse, à découvrir chez nous. Chacune pratique et propose son art au village.

Contacts :

Myriam, séance de massage Shiatsu sur rdv: 0687715422            espace.sozen@gmail.com

Cecile, bijoux: 0637560660   cecile.lema@gmail.com       

Nadège: 0649959354    nrostan@mail.com

Merci Myriam, Cecile, Nadège. Tout est beaucoup plus simple et chaleureux ensemble 🙂

Erika DCR pour Bio dans nos vies.

 

Sylvia Pilat, alias Carabistouille, clown d’hôpitaux!

Sylvia a roulé sa bosse depuis son entrée dans la vie active dans le domaine de l’enfance. Son BAFA en poche, depuis le lycée elle a toujours travaillé avec des enfants. Aujourd’hui elle est clown dans les hopitaux à Nice. Un metier artistique et singulier qui interpelle! Et lorsque Sylvia quitte son costume de scène, elle récupère de vieux objets, ponce, colle, cloue, peint, transforme et décore son univers.

C’est dans son écrin de verdure à Saint Jeannet que « Bio dans nos vies » est allé à sa rencontre.

Bio dans nos Vies : -Bonjour Sylvia, merci d’accueillir Bio dans nos vies dans ton jardin si mignon.

Sylvia : – Bonjour Bio dans nos vies

BDNV:- Comme tu le sais, nous aimons aller à la rencontre des artistes pour qu’ils nous parlent de leur façon de respecter l’envirronnement, de leur démarche écolo.

Sylvia : – Je ne me sens pas vraiment écolo.

BDNV:- C’est ce que les artistes nous répondent très souvent en premier lieu. Mais en discutant on s’aperçoit vite qu’ils sont sensibles à la cause, dans le questionnement, dans l’action même minime. Et puis, tu fais un métier très particulier. Clown à l’hopital, c’est mettre du bio- beau dans les cœurs et les âmes au quotidien. Comment devient-on Clown d’hopitaux ?

Sylvia:-Il n’y a pas de parcours pré-défini. Les choses se font au fil du temps et des rencontres.

Depuis le lycée, je travaille avec les enfants. D’abord comme animatrice en colo, puis à l’année. Après le BAFA, j’ai passé un DEFA (diplôme d’état aux fonctions de l’animation) et je me suis petit à petit spécialisée dans le sport avec un BESS (brevet d’éducateur sportif). Les premières années, mon approche des activités dans l’animation était essentiellement axée sur le sport.

BDNV:- D’encadrante autour du sport à clown d’hopitaux le lien n’est pas flagrant….

Sylvia:- Oui en effet! En 1989, dans le cadre de mon travail, j’ai découvert les Ateliers du Cirque « Les Campelières »  à Mougins. Une rencontre qui sera la bascule. J’ai intégré l’équipe et animé les ateliers acrobatie et jongle. Des ateliers physiques où le sport n’était pas loin. Cependant, à la fin de l’année il y avait le spectacle !!! Et là aussi je me régalais. L’organisation, la préparation, les mises en scène, la musique, les costumes, le maquillage, c’était très chouette. Un spectacle où chacun était valorisé dans ses compétences et à la hauteur de ses possibilités. Le monde du cirque ouvre des voies à tous. Et au moment du spectacle tout devient magique, tout est subblimé.

En 1996 pour mon dernier enfant, j’en ai 3, j’ai connu la crèche Solensi à Nice. Une crèche pour enfants concernés par le sida dans leur famille. La structure était tellement extra, tellement ouverte que j’y ai mis Correntin quelques jours par semaine. Un lieu où oeuvrait la psychologue Mireille Kreitman, fondatrice de l’association Indigo qui a pour mission d’améliorer la qualité de vie et la qualité des soins des enfants hospitalisés en hémato-oncologie avec entre autre chose l’intervention de clowns dans les unités de soins.

Au cours d’une discution avec Mireille, elle me dit qu’il n’y a qu’un clown chez Indigo et qu’il serait vraiment bien  qu’il y en ait deux. Connaissant mon expérience dans l’animation avec les enfants, elle me propose de me lancer.

Mais je ne suis pas médecin ! Il ne faut pas être médecin répond Mireille. Je n’ai pas de formation de clown ! Pas grave, ce n’est pas le plus important, rétorque Mireille. Et Magali le clown d’Indigo alias Bidouille me présente et me fait découvrir le metier. J’ai accepté de tenter l’expérience, mais pour 3 mois en tant que bénévole pour être libre de décliner l’offre si je sentais que là n’était pas ma place. Depuis je n’ai jamais arrêté et c’est devenu mon metier. Il a fallu me trouver un nom. Ce sont mes enfants qui l’on trouvé : Carabistouille. Ce qui signifie « dire des bêtises » en Belge.

BDNV : Comment aborde t-on les choses ? Comment travaille t-on ?

Sylvia : Entre le début de ma carrière et aujourd’hui, Carabistouille a beaucoup appris, beaucoup évolué.

Aujourd’hui je travaille toujours pour Indigo, et depuis 2000 je travaille aussi pour l’association Theodora. Indigo est niçoise, Theodora est Suisse, implantée en France également. Cela a été un petit tournant dans ma carrière de clown d’hopitaux. Une sorte de structuration, de professionalisation de mon activité car Théodora est une importante association présente sur tout le territoire dans plusieurs CHU. Pour Théodora mon nom d’artiste est Docteur Zéboulon.

A chaque arrivée dans les services que se soit pour Indigo ou pour Theodora nous, les clowns, nous avons une petite réunion avec le personnel soignant. L’équipe nous informe sur le prénom et l’âge de l’enfant, nous indique les chambres où l’on peut passer, celles où nous sommes expressément attendus par l ‘enfant, ou par la famille, celles où les enfants ne souhaitent pas notre visite ce jour là et celles ou l’équipe médicale nous demande une visite. Les soignants nous donnent aussi des indications techniques, comme « attention  il a été opéré de l’appendicite, ne le fais pas trop rigoler » ou bien « elle doit rester allongée » ou encore  » il est contagieux, à voir en dernier avec masque et sur-chaussures ». On nous donnent aussi des informations sur leur état psychologique « ne le réveille surtout pas cela fait deux heure qu’il pleure ». En entrant dans une chambre avec l’expérience on saisit rapidement la situation. Au début, je ne savais pas prendre ma place, me mettre en lumière tout en trouvant l’angle d’approche entre le pied de perfusion, les différents appareils, le lit. Le matériel est souvent encombrant, surtout en hémato-oncologie. Avec le temps en un clin d’oeil, on sait prendre la mesure et on s’adapte. En poussant la porte d’une chambre on ne sait jamais ce que l’on va trouver derrière. On passe la tête, le regard balaie la chambre, un tour à 180°, en un clin d’oeil on doit sentir le truc tant sur le plan matériel, qu’émotionnel. Nos « spectacles » c’est 100% d’improvisation !!!

Une chose importante aussi pour moi est la façon d’aborder la fonction de clown. Lorsque j’ai démarré j’étais très influencée par les clows Bario, très potaches et gros éclats de rire ! Et puis j’ai appris à faire le distingo entre la tarte à la crème et le clown d’hopital. Une chambre est une scène particulière. Il faut parfois y faire rentrer la vie, le rire, le bruit, la lumière en tirant les rideaux mais il faut aussi savoir se faire petit, très très proche de l’enfant, tout en douceur, dans l’intimité. C’est très élastique. Il m’arrive parfois de ne rien faire, l’enfant est fatigué et juste la présence du clown suffit à faire naitre un sourire. Le chalenge des clowns est un sourire par chambre visitée. 

Autre chose aussi, lorsque j’ai commencé on entrait seul dans les chambres. Aujourd’hui nous sommes toujours deux. C’est beaucoup plus facile pour la prise de contact, pour la mise en scène, pour jongler avec les émotions et rebondir sur l’instant. C’est aussi moins difficile lorsque la situation est lourde et triste. Le duo rassure.  

BDNV : – On sait hélas que dans des services tels que les services hémato-oncologie, certains cas sont sans espoir de guerisson. Comment géres-tu la situation ?

Sylvia : – Je n’aurai pas pu faire ce metier si la douleur n’était pas prise en charge et je dois dire qu’elle est très bien prise en charge. Au delà de cela, on vit notre metier avec passion. On apprend à gérer les émotions, à les canaliser. Nous vivons bien sur des moments très forts, très durs. Parfois ce sont les medecins qui nous disent «Allez-y vous, parce que nous on y arrive plus ». Les clowns ont une place à part entière dans le monde pédiatrique aujourd’hui. Mes années d’expérience me permettent aussi de mieux récupérer après le partage d’une situation particulièrement délicate.  

BDNV pose souvent la question aux artistes du message qu’ils pensent faire passer. Quel est le message d’un clown d’hopital ?

Sylvia : – La superbe phrase d’Anne Dauphine Julliand réalisatrice du documentaire « Et les mistrals gagnants » sorti au cinéma en février cette année. Un film qui traite de la maladie infantile à travers le portrait d’enfants atteints de pathologies lourdes.  «Lorsqu’ on ne peut plus rajouter de jours à la vie, il faut ajouter de la vie aux jours. »

BDNV: …. puissant message, qui laisse penseur.

BDNV: – Ton metier est un metier éthique par exellence, dans le don de soi, dans l’empathie et le partage, écolo du cœur on aurait envie de dire. Fais-tu d’autres démarches qui soit en lien avec le respect de l’homme ou de l’environnement ?

Sylvia: – Sur le plan alimentaire je n’achète plus ce qui vient d’Espagne, j’achète des fruits et légumes de saison, je n’achète jamais de plats préparés. Je cuisine.

Mais surtout je suis une accro de la récupération et j’achète par exemple beaucoup de mes vêtements en braderie ou vide grenier. Lorsque mes enfants sont nés je me suis procurée tout le matériel pour bébé, d’occasion. Je trouvais tellement dommage d’acheter neuf pour quelques mois d’utilisation. Et lorsqu’ils étaient ados pour leur faire plaisir et qu’ils ne se sentent pas trop en décalage à l’école je cedais à leur demande de vêtements de marques en les achetant d’occasion aussi. Pour des raisons économiques mais essentiellement par principe. Je n’aime pas trop cette société de consommation à outrance ni l’impact que ces modes ont sur nos sociétés.

BDNV: -Tu dis que tu récupères beaucoup. Quel genre de récupération ?

Sylvia: -De vieux objets surtout, que je réabilite dans leur usage ou que je détourne de leur usage premier pour de la déco. Depuis le lycée je récupère, je réutilise, je transforme tout ce que je trouve. A l’époque ce n’était pas très bien vu. Heureusement les choses ont bougé, changé. Je suis donc passé du statut de « fouilleuse de poubelles » au statut plus classe de « recycleuse ». Pas mal non ? Ah ah !  J’adore la déco, mon interieur est décoré en grande partie avec mes bricolages. Mon jardin aussi d’ailleurs. 

: – Oui c’est beau, il y a un coté magique et enfantin dans ton jardin. Tu crées des espaces intimes et chaleureux.

Sylvia:- Oui chaque recoin à son univers. Le recoin sieste ou lecture sous le figuier dans un vieux lit en fer revisité. Le coin repas partage et convivialité sous la tonelle, avec ma table mosaïque de porcelaine. Je travaille aussi avec des vieilles assiettes de porcelaine ébréchées. Je les casse et avec les morceaux je fais de la mosaïque.

 

 

 

 

BDNV: – Où te founis-tu ?

Sylvia:  – Partout où c’est possible, poubelle, Emmaus, vide grenier, brocante et je répare, je peins, je ponce, je colle, je métamorphose. Soit au hasard, soit en cherchant. Si en passant devant des poubelles je vois quelque chose qui me me parle, hop ! j’embarque. Je suis attachée aux vieux objets, ceux qui ont traversé le temps , qui portent une histoire. Et puis c’est tellement mieux que de se fournir dans les centres commerciaux. Arrêtons de consommer autant.

Il y a quand même des questions à se poser sur notre environnement. Je vais revenir à mon métier en centre hospitalier, mais il y a, ces dernières années, une augmentation notable des leucémies chez les enfants ainsi que d’autres pathologies. Le nombre de très petites filles pré-pubères et d’opérations d’enfants pas identifiés sexuellement à la naissance aussi est en nette augmentationC’est un peu perturbant non ? On ne peut s’empêcher de faire le lien avec l’alimentation, les produits chimiques, les pertubateurs endocriniens…

BDNV: -Il y a de quoi se posait des questions sur nos modes de fonctionnement dans nos sociétés dites modernes, tu as raison.. Malgré ça tu continues de transmettre la joie, la couleur que se soit dans ton métier ou dans tes créations. Une artiste généreuse au sens profond du terme.

Sylvia: -Bien sur c’est important de rester dans le rire ou le sourire même si ce n’est pas toujours évident. Un enfant est un enfant jusqu’au bout et la vie est là jusqu’à la dernière seconde. Les témoignages, les courriers de remerciements des enfants, des familles nous donnent aussi la force de poursuivre.

Il faut dire aussi qu’en contre partie de plus en plus de pathologies se soignent, on guérit plus qu’avant. Et lorsque je suis un peu débordée par tout ça et bien je plante des fleurs, je coue, je bricole, je colle, je ponce, je décore, je transforme, je recycle.

BDNV:-Bravo et chapeau bas Sylvia. 

L’échange avec Sylvia est un instant rare, pudique, parfois le silence s’impose, on laisse passer l’instant. Une incursion, dans le monde des enfants hospitalisés par l’entrée des artistes tout en finesse et en sensibilité malgré les nez rouges et les grandes savates !

Merci Sylvia pour les enfants et leur famille et pour Bio dans nos vies. Belle route à Carabistouille et à tes partenaires Robinet et Bidouille.

Erika DCR pour Bio dans nos vies

Pour soutenir l’action des associations Indigo ou Théodora vous pouvez faire un don.

Association Indigo , 57Avenue la Californie, Fondation Lenval 06200 NICE                                                                     Tél : 04 92 03 92 68  associationindigo@wanadoo.fr

Association Théodora, 24 Rue Saint Charles  75015 Paris                                                                                                 Tél: 01.45.79.00.14  contact.france@theodora.org

https://fr.theodora.org/fr

La contraception

Sea, sex and sun…. C’est l’été ! On ne compte plus le nombre de fois où on l’a entendu ce refrain…Vive les chaudes soirées………… et la contraception !… Ca y est, les sourires disparaissent… Oh, mais t’es pas marrante. Ca aussi on l’a entendu souvent ! Ben, c’est peut-être pas marrant mais responsable. … Vous êtes prêt(e)s, youpi, on y va :

Le préservatif masculin de bonne qualité… Oups, non, j’en parlerai plus tard de celui-là. Je ne veux pas vous braquer tout de suite !!!

La pilule féminine

Voilà l’invention qui plaît aux hommes : entière responsabilité aux femmes, qui encaissent les désagréments qu’elle occasionne sur leur organisme. Et s’il y a un couac, la question est toute trouvée : « Ben alors, t’avais pas pris ta pilule ?… ».

La pilule féminine, qui bloque tout simplement le cycle hormonal féminin, présente toutefois certains avantages : fiable dès le 1er comprimé, à condition de la prendre consciencieusement tous les jours, elle permet aussi de prévoir la date des règles. La diversité permet de trouver (normalement) une pilule sans effets secondaires (ou presque, faut pas rêver). Petite liste non exhaustive : Prise de poids (la pilule augmente l’appétit), jambes lourdes, acné, saignements, seins gonflés, migraines, varices, hypertension, baisse de libido, dépression, thrombose…

Les contre-indications restent nombreuses, même avec les pilules micro dosées. À ne pas prendre en cas d’hypertension, de diabète, de certains cancers, de cholestérol trop élevé, de risques de phlébite, d’embolie pulmonaire, de maladies hépatiques graves….. La liste est encore longue, sans compter que pour les fumeuses, le risque de développer une maladie cardiovasculaire est multiplié par 20 et augmente avec l’ancienneté.

On se sent aussi obligé de parler des scandales concernant les pilules de 3eme et 4eme générations (risques accrus de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire – un caillot obstrue les vaisseaux dans les poumons) et plus particulièrement de l’AVC (accident vasculaire cérébral) provoqué chez une jeune femme en 2012. Déremboursées à partir de 2013, leurs ventes ont chuté et ne représentent plus que 25% du marché.

En plus de tout ça, la pilule contraceptive ne protège absolument pas des maladies et infections sexuellement transmissibles.

On zappe la pilule du lendemain qui ne doit pas être considérée comme un moyen de contraception. C’est uniquement dans les extrêmes urgences, qu’on se le dise une bonne fois pour toute, tout comme l’ivg d’ailleurs.

Des chercheurs de Berkeley en Californie travaillent sur la mise au point d’une pilule sans hormone, dont les principes actifs sont tirés de plantes : la pristimerine (provenant de la vigne chinoise du tonnerre divin) et le lupéol (se trouvant dans la mangue, l’olive, l’aloe vera ou la racine de pissenlit). Déclinée sous forme de pilules, anneau vaginal et de patchs, elle serait aussi utilisable par les hommes !!!!!!

Le Risug

Késako ? Cette substance, expérimentée maladroitement dans les années 90 en Inde, a eu ses tests suspendus puis repris à partir de 2006, jusqu’à la mettre au point. Il s’agit d’une substance injectée dans le canal déférent de la verge. Le gel tapisse les parois du canal. Lorsque les spermatozoïdes entrent en contact avec les molécules actives de ce gel, ils se retrouvent dans l’incapacité de se mouvoir correctement. Il leur est donc compliqué d’aller féconder l’ovule ! La durée d’une seule injection serait de 10 ans. L’action serait réversible en injectant une autre substance neutralisante. Malheureusement boudée par les laboratoires pharmaceutiques, l’inventeur a demandé de l’aide à une organisation américaine, qui peine encore à trouver des fonds pour approfondir les tests (le renommant Vasalgel). On se demande pourquoi sachant que ces mêmes labos sont tous dirigés par des hommes… !!!!

Tout comme la pilule, le Risug ne protègerait pas des maladies et infections sexuellement transmissibles. Des études sont cependant en cours pour tester l’impact du gel sur le virus du Sida.

Le patch

Même principe et inconvénients que la pilule, sous forme de patch, ce qui résout les oublis ou les erreurs d’utilisation qui peuvent exister lorsqu’on prend la pilule. Maigre consolation quand on sait que le patch, comme les pilules de 3eme et 4eme génération, présente un risque de thrombose accru, qu’il peut se décoller, est peu discret et contribue de toute façon à envoyer des substances chimiques qui interfèrent avec le système hormonal du corps. Tout comme la pilule, la femme perd l’écoute de ses rythmes naturels. De plus, les patchs utilisés et jetés contiennent encore des hormones que l’on retrouve ensuite dans le milieu naturel (eaux principalement) puisque les centrales d’épuration ne peuvent pas les traiter.

Tout comme la pilule, il ne protège pas des maladies et infections sexuellement transmissibles.

L’implant

Posé sous la peau interne du bras pour 3 ans, le principe est le même que la pilule ou le patch, en plus discret. La formule idéale ? Et non, tous les effets secondaires sont toujours présents, voire amplifiés.

Sans parler des implants posés au niveau des trompes de Fallope. Pose rapide en passant par les voies naturelles, sous anesthésie locale. Dans les mois suivants, certaines femmes ont cru « mourir » : amaigrissement, fatigue, dépression, migraines, douleurs musculaires et articulaires dans des proportions inacceptables selon certains praticiens. Un registre a d’ailleurs été ouvert par le CNGOF (Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français) pour que les praticiens fassent remonter les informations qui seront étudiées.

Des plaintes ont même été déposées contre le laboratoire Bayer ; la procédure est en cours.  Leur vente vient d’être suspendue pour 3 mois dans l’union européenne.

Les implants, dans le bras ou les trompes, ne protègent toujours pas des maladies et infections sexuellement transmissibles.

Les stérilets (dispositifs intra-utérins)

En forme de T, ils sont posés dans l’utérus par un médecin ou une sage-femme et peuvent être gardés entre 4 et 10 ans selon le modèle.

Comme son nom l’indique, le stérilet hormonal diffuse des hormones, avec les mêmes inconvénients que précités, parfois atténués. Certaines femmes n’ont même plus de règles. De nombreuses utilisatrices du stérilet Mirena pointe du doigt les nombreux et importants effets secondaires. 

Le stérilet au cuivre a l’avantage de ne pas contenir d’hormones. Par contre, il peut rendre les règles nettement plus longues et abondantes. Les contre-indications sont assez nombreuses : malformations de l’utérus, cols trop ouverts (c’est le cas des femmes ayant eu de nombreux enfants), fibromes, cancer de l’utérus ou de l’endomètre, infections génitales, saignements vaginaux inexpliqués…

Un stérilet différent : La boule de cuivre. Sans hormones et posé pour une durée de 5 ans, il est composé de plusieurs perles de cuivre non agressives pour la muqueuse et d’un alliage à mémoire de forme, utilisable même chez les femmes n’ayant jamais eu d’enfant. Commercialisé en Suisse et dans d’autres pays, il ne l’est pas encore en France. Peu de retour, qui semblent dans l’ensemble satisfaisants après une période d’adaptation.

Quel que soit le modèle, les stérilets ne protègent toujours pas des maladies et infections sexuellement transmissibles.

Diaphragme, cape cervicale, préservatif féminin, spermicides

Moyens locaux, ils se glissent dans le vagin, au contact du col de l’utérus, doivent systématiquement être posés avant chaque rapports (ou quelques heures avant), et par mesure de précaution, être conjointement utilisés avec un spermicides.

Le diaphragme et la cape sont réutilisables, mais doivent être soigneusement lavés et stockés.

Il existe des éponges imprégnées de spermicides, plus commodes d’utilisation.

Ces méthodes nécessitent une lecture attentive de la notice d’emploi car leur efficacité dépend surtout de la bonne utilisation !

L’avantage est qu’il n’y a pas de présence d’hormones et que la femme peut donc avoir un cycle hormonal tout à fait naturel. Certaines allergies sont cependant possibles.

Quel que soit le modèle, ils ne protègent toujours pas des maladies et infections sexuellement transmissibles sauf le préservatif féminin bien utilisé.

Attention : le préservatif féminin ne doit pas être utilisé en même temps qu’un préservatif masculin !

L’abstinence dans les périodes critiques

 😀 😀 😀  Pourquoi vous râlez ?!!!! Alors là, c’est carrément efficace, sauf quand on a un rapport juste au mauvais moment car le cycle est irrégulier.

La méthode Ogino a été très en vogue à une époque, les bébés Ogino aussi ! Et ça ne protège toujours pas des maladies et infections sexuellement transmissibles. Donc, on oublie.

Le retrait

Très en vogue… Mais puisque je te dis que je maîtrise et que je me retirerai….. Ca on connaît aussi… et le nombre de naissances ou d’ivg qui y sont liées un peu moins…C’est un peu comme les bébés Ogino. Et encore une fois, ça ne protège pas des maladies et infections sexuellement transmissibles.

Le préservatif masculin de bonne qualité, et oui, j’y reviens !

Pourquoi avoir voulu citer celui-ci en premier, parce qu’il regroupe de nombreux avantages : ce n’est pas un médicament, il est local, et correctement utilisé, il protège non seulement des naissances non désirées mais en plus, des maladies et infections sexuellement transmissibles tout en respectant l’intégrité de l’organisme, et ce n’est pas rien. Savoir que les jeunes rechignent de plus en plus à l’utiliser, se croyant au-dessus du Sida, on râle, nous les mamans. Quand on sait qu’il n’est cité qu’en 11eme position sur le site Choisir sa contraception… Vous rirez moins messieurs en voyant que le 2eme moyen cité sur ce site est la stérilisation masculine (qui n’empêche pas les maladies et infections sexuellement transmissibles, soit dit en passant).

Bref, vous l’aurez compris, notre préféré reste le préservatif de bonne qualité. Il y en a pour toutes les tailles, de différentes épaisseurs (pour les plus sensibles) et pour tous les goûts (c’est le cas de le dire !), alors amusez-vous !

Et pour celles et ceux qui veulent aller un peu plus loin dans la réflexion, au-delà de la contraception, il est important de renouer avec l’importance de l’enfantement à tous les niveaux. Quand on dit que la période entourant la grossesse devrait être un moment privilégié et protégé, on n’exagère en rien. Des chercheurs ont mis en évidence la transmission sur 3 générations des traumatismes par l’épigénétique.

Très bonne émission de radio sur France culture avec Isabelle Mansuy, neurogénéticienne à l’université de Zürich, en cliquant ici

La psychogénéalogie l’étudie aussi, avec la transmission par l’ADN des secrets de famille qui se réactivent pour être mis en lumière et reconnus.

Bel été à tous 😀

                                                                                                                     Nathalie MJ pour BdnV 

2 Livres : santé au naturel et détox

Nos amies Pascale Gélis-Imbert et Virginie Parée écrivent souvent dans nos pages. Grâce à elles nous avons pu aiguiser notre regard sur la santé au naturel et sur l’alimentation. Cette saison, elles ont écrit chacune un livre qui nous offre encore un peu plus de connaissances pour prendre toujours soin de nous tout en douceur 🙂

« Ma petite pharmacie au naturel »

Dans « Ma petite pharmacie au naturel », Pascale Gélis Imbert, Docteur en pharmacie, spécialisée en phytothérapie et aromathérapie, présente plus de 150 traitements naturels simples avec des plantes, des huiles essentielles, des bourgeons, des algues… pour soigner et soulager 95 maux classés par ordre alphabétique de Abcès à Zona en passant par Allergies, Arthrite, Bébé, Digestion, Fatigue, Peau, Stress…

Vous pouvez vous procurer ce livre dans toutes les librairies, à la Fnac, sur Amazon au prix de 6,90 euros.

Un vrai livre pour toute la vie, à garder et à offrir à ceux qu’on aime. Aux éditions Solar Santé ( merci à Pascale qui cite « Bio dans nos vies  » à la quatrième de couverture 🙂 c’est un joli clin d’oeil à notre amitié !0001

                                                                                                   …
« Ma cure Détox en 8 jours »
Comment soutenir son corps dans sa fonction d’auto nettoyage? 
Comment l’aider à éliminer les toxines pour retrouver le meilleur de ses capacités?
Voila le thème que Virginie Parée développe dans son dernier livre  » Ma cure détox en 8 jours » aux éditions Larousse
Avant de détoxifier, le préalable est d’éviter autant que possible le contact avec les diverses pollutions auxquelles notre quotidien nous expose.
L’alimentation industrielle en est une cause importante. Additifs, conservateurs, colorants ou agents de saveur, autant de substances chimiques que l’on pourrait éviter en préférant des produits naturels issus de l’agriculture biologique.
Les toxines liées à certaines émotions ou comportements sont aussi susceptibles d’encrasser le corps. Virginie nous donne des pistes pour poser de petits actes qui libèrent l’esprit.
L’excès de prises médicamenteuses est toujours nocif pour notre foie. Pourtant, dans bien des cas, des solutions naturelles existent pour éviter les petits maux du quotidien. 
Enfin, l’environnement est le paramètre sur lequel nous avons le moins de marge de manoeuvre. Pollution de l’air et de l’eau, ondes électromagnétiques envahissent nos villes, nos campagnes et nos maisons.
« Ma cure détox en 8 jours » propose des solutions saisonnières en travaillant sur les organes de détoxication appelés émonctoires.
Chaque saison commence par un test permettant de faire le point.
Virginie nous décrit ensuite l’organe du moment, son rôle et la manière d’en prendre soin.
8 jours de menus détox permettent de mettre en pratique les conseils alimentaires.
Et puis la nutrition se complète par des tisanes ou plantes pour soutenir les organes dans leur fonction de nettoyage ou de filtre.

Enfin, on ne peut envisager de détoxication efficace sans faire référence à l’activité physique. C’est ce que fait Virginie en nous décrivant les meilleurs sports pour les périodes froides ou chaudes de l’année. Youpi ! C’est sûre qu’avec tous ces bons conseils on va attaquer les saisons avec une santé de fer ! A consommer sans modération et à offrir à toutes les occasions. Merci Virginie 🙂 

(Date de sortie: le 24 mai et déjà en pré-commande)

17342832_10212468517491002_5683482370550778363_nwww.biodansnosvies.fr   / Avril 2017

Le thym par le Docteur Pascale Imbert

LE THYM (Thymus vulgaris L.)

 Le thym commun (Thymus vulgaris L.), appelé farigoule dans le midi de la France, est un petit arbrisseau qui pousse dans les lieux secs, les rocailles… C’est une plante aromatique qui appartient à la famille des lamiacées comme le romarin ou les lavandes. Ses feuilles sont linéaires et ses fleurs, petites, se déclinent du rose au blanchâtre. Le thym est utilisé depuis l’Antiquité. Les Egyptiens s’en servaient pour embaumer leurs morts, les Grecs afin d’améliorer la saveur et la digestion de leurs plats, les Romains pour donner du courage à leurs soldats avant un combat… Au Moyen Âge, Hildegarde de Bingen le préconisait dans le traitement des détresses respiratoires. Le thym contient de nombreux principes actifs qui en font un excellent antiseptique. On l’utilisera, aussi, en cas de digestions difficiles car il est antispasmodique. C’est un fortifiant remarquable ! En aromathérapie, l’huile essentielle de parties aériennes fleuries de thym est considérée comme majeure. Elle présente différents chémotypes (à thymol, à géraniol, à thujanol, à linalol…) ce qui permet de l’utiliser dans différentes indications (infections ORL, pulmonaires, digestives, urinaires… douleurs rhumatismales…) chez l’adulte et chez l’enfant.

 

capture-decran-2016-12-12-a-14-53-48Tisane en cas d’état grippal pour les adultes : Cette tisane antiseptique est particulièrement efficace dès l’apparition des premiers symptômes (refroidissement, maux de tête, maux de gorge…).

Mettre 20 à 30 g de sommités de thym dans un litre d’eau frémissante. Couvrir et laisser infuser 5 à 10 min. Mettre, dans une grande tasse, une grosse cuillerée à café de miel de thym et une à deux gouttes d’huile essentielle de cannelle de Ceylan (écorce). Bien mélanger. Verser un peu d’infusion dans la tasse, bien mélanger. Verser ce mélange dans un Thermos puis le remplir avec le reste de l’infusion. Prendre 3 à 5, au cours de la matinée et en début d’après-midi, jusqu’à amélioration de l’état général.

 

Astuce : le soir, deux heures avant le coucher, faites la même tisane en remplaçant le thym par de la marjolaine (Origanum majorana L.) afin de passer une nuit apaisée.

 

Tisane « Anti-grippale » pour les enfants : Cette tisane à la fois antiseptique, apaisante et de saveur agréable sera conseillée aux enfants.

Mettre 20 g de fleurs de tilleul dans un litre d’eau frémissante. Couvrir et laisser infuser 5 à 10 min. Mettre, dans une tasse, une cuillerée à café de miel avec une goutte d’huile essentielle de thym à thujanol, bien mélanger. Verser l’infusion dans la tasse, mélanger. Boire quelques gorgées, le matin et le soir, 2h avant le coucher, pendant 3 à 5 jours.

 

Tisane « détox et tonique » : Cette tisane est conseillée aux convalescents ainsi qu’aux personnes sous chimiothérapie car elle est à la fois revitalisante et détoxifiante.

Mettre 20 g de sommités de thym, 20 g de sommités de romarin et 3 à 4 tranches de gingembre frais dans un litre d’eau frémissante. Ajouter le jus d’un demi-citron (si vous aimez). Couvrir et laisser infuser 5 à 10 min. Mettre, dans une grande tasse, une cuillerée à café de miel. Verser l’infusion dans la tasse, mélanger. Prendre 2 tasses par jour, le matin et en début d’après-midi, pendant 20 à 30 jours.

 

Bain « Antirhumatismal » : Mettre 100 g de sommités fleuries de thym et 100 g de feuilles de cassis dans un litre d’eau frémissante. Couvrir et laisser infuser 15 min. Verser cette infusion dans l’eau d’un bain tiède et y rester immergé pendant 10 à 15 min. Réaliser ce soin un à deux fois par semaine pendant 1 à 2 mois.

 

Recette « Anti-rides » : Pour prévenir rides et ridules, rincer votre peau, le matin, avec de l’hydrolat de rose de Damas et le soir avec de l’hydrolat de thym à linalol.

 

Lotion capillaire : Cette lotion apaise et fortife le cuir chevelu.

Mettre 100 g de sommités fleuries de thym dans un litre d’eau frémissante. Couvrir et laisser infuser 15 min. Appliquer cette infusion, régulièrement, sur les cheveux en frictionnant le cuir chevelu.

 

capture-decran-2016-12-12-a-15-31-34« Le Bouquet Garni » : le thym entre dans la composition du bouquet garni provençal au même titre que le laurier noble, le romarin, l’origan… Sa présence donnera à vos plats une saveur ensoleillée et permettra une meilleure digestion.

 

Astuce : Le thym commun peut être remplacé par du thym serpolet (Thymus serpillum L.) qui pousse jusqu’à 3000 m d’altitude et qui possède les mêmes propriétés thérapeutiques.

 

Attention l’huile essentielle de cannelle de Ceylan est dermo-caustique. Bien respecter le protocole de préparation. Eviter tout contact entre une huile essentielle et les yeux. Demander un avis médical en cas de grossesse et d’allaitement ainsi que pour les personnes sous traitement médical.

 Pascale Gélis-Imbert, Docteur en Pharmacie.

www.biodansnosvies.fr

 

Les antibiotiques au naturel Pascale Gélis-Imbert

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Vous lisez ses articles sur notre site depuis deux ans, Pascale Gélis-Imbert, Docteur en Pharmacie, a plusieurs cordes à son arc et de l’énergie à revendre. Nous avons mis le doigt sur son secret aux mille pouvoirs surgis du coeur des plantes : les huiles essentielles ! Celles-ci contiennent des principes actifs qui agissent sur les différents systèmes de notre organisme…

Comment se soigner autrement?  Comment utiliser ces trésors que sont les huiles essentielles pour que notre corps se défende contre les virus et les bactéries ? Réponse dans son premier livre à garder toute sa vie à portée de main… 🙂

Au cours du XXème siècle, les antibiotiques ont sauvé des millions de vies à travers le monde. Cependant, de nos jours, la résistance de certaines bactéries à ces médicaments remet en cause la guérison d’un nombre croissant d’infections bactériennes. Pour les Autorités de Santé, la résistance aux antibiotiques est LE DEFI médical du XXIème siècle. Mais qu’en est-il exactement ? La nature nous offre-t-elle des solutions, en première intention ou en complément d’un traitement médicamenteux ? Ce livre « Les Antibiotiques au Naturel » nous donne des pistes intéressantes et nous invite, avant tout, à prendre soin de notre terrain afin que notre corps se défende, tout seul, contre tout agresseur ! P.G.I

 

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Le site à consulter : www.epiphyt.com

biodansnosvies.fr / Septembre 2016

Quelles thérapies choisir à « la maison de la santé de la Gaude 06 »

IMG_0068LA MAISON DE LA SANTE à La Gaude a fonctionné dès son ouverture en Octobre 2016 avec Caroline TURPIN, Nicolas ALLAVENA, tous deux Masseurs et Kinesithérapeutes, Alexandra BONIN, Ostéopathe, Pascale GELIS-IMBERT, Docteur en Pharmacie, Phytothérapie et Aromathérapie, Virgine PAREE, Conseil en Nutrition et Laetitia ROUBAUD, Infirmière.

De nouvelles personnes sont venues rejoindre l’équipe existante :

Françoise MAHL-ADARA, Professeur de Yoga, Guislaine SANCHEZ, Sophrologue et Yvette PECORI, Psycho-Praticienne.

BIO DANS NOS VIES : « QUELLES THERAPIES CHOISIR A LA « MAISON DE LA SANTE » DE LA GAUDE ? »

Yvette Pécori :

« Il existe plusieurs sortes de thérapies…

– d’inspiration psychanalytique, thérapies psychocorporelle, thérapies de groupe, thérapies de couple, hypno thérapies, thérapies intégratives ou multi référentielles thérapies en réalité virtuelle, thérapies Cognitives et Comportementales (TCC) et dernièrement Thérapies de la Santé avec la Psychologie positive.

Dans le courant humaniste où je me situe, les thérapies que je propose font partie des thérapies Cognitives (processus de pensées), comportementales (portant sur des comportements inadaptés) et thérapies de la santé (psychologie positive).

Ces deux dernières thérapies s’adressent aux personnes qui désirent retrouver confiance en elles, à faire face à des problèmes embarrassants, à dépasser leurs limites, à résoudre des conflits familiaux ou professionnels, à améliorer leurs performances dans le domaine du sport ou professionnel. Ces thérapies aident à retrouver un bien être, de l’énergie et de la vitalité.   Le bien être psychologique est centré sur le sentiment d’autonomie, de compétence, d’accomplissement et du sens que l’on donne à sa vie.

La personne est un client et non un patient. Ce client est acteur de sa thérapie. Mon postulat et l’expérience de vingt ans me le prouvent à chaque cas : « La personne a en elle toutes les ressources nécessaires pour réussir. »

La durée des consultations varie de 4, 6 ou 8 séances, rarement plus.

La Confidentialité est de rigueur, des deux côtés, client et Thérapeute. »

10665335_861797560520217_8841436300122573428_nYvette PECORI – Psycho-Praticienne/Coaching Performance Mentale

Maison de la Santé – 9 rue Louis Féraud – La Gaude

Permanence les Mercredis de 14 h à 19 h –

Durée de la séance : 1 heure – prix 50 Euros

Sur Rendez-vous : Tel 06 67 17 84 ou 04 93 24 90 90

http://www.biodansnosvies.fr/2016/01/la-maison-de-la-sante-a-la-gaude/31441117

 

“Casa Dragones »: votre pied-à-terre pour découvrir le Haut Aragon”

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Belle découverte !!!

« La Pardina », et donc Casa Dragones, se situe à la limite de deux zone géographiques aux charmes aussi divers qu’intéressants. Au nord, les Pyrénées, le Parc National d’Ordesa Monte Perdido et le Parc Naturel Posets-Maladeta, le Geoparque Mundial de la UNESCO…juste à côté les barrages de Mediano et El Grado, la Sierra de Guara, la Vallée de la Fueva….Au sud, les vignobles du Somontano et les plaines céréalières…

085045c1-7487-4ad3-afcc-10ea934c48d7.1.10Construite en 1863 et rénovée récemment, l’esprit a été de conserver les structures architecturales anciennes (pierre de taille, cheminée aragonaise, poutres en bois d’origine) tout en créant des espaces modernes. La décoration et l’aménagement font la part belle à l’art du recyclage et le recyclage d’art, ainsi qu’aux nombreux objets de l’artisanat du monde ramenés de voyage…

Casa Dragones vous propose deux hébergements: l’un plus spacieux, avec un jardin privé, pour un séjour détente ; l’autre plus intime, avec une cuisine moderne et un patio. Un charmant pied-à-terre, pour une nuit, un week-end, une semaine ou plus…4d82c21a-7c95-4ec2-8a5a-18d98604edf1.1.6

 
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Le Mascun est un appartement spacieux pour 4/5 personnes, avec une chambre avec un grand lit, un salon/cuisine avec un canapé convertible et un fauteuil convertible.. Sa salle de bain est équipée d’une baignoire d’hydromassage et double lavabo. L’accès au jardin privé de 80 m2 qui inclut un spa 6 places est direct, pour profiter pleinement de la Nature et du farniente.

 

c48e3bd5-f294-47e7-85d3-c6f9aa15c348.1.10TARIFS DES LOCATIONS:
à partir de 85€/nuit (pour deux personnes)
semaine de 7 nuits : à partir de 600€ en haute saison, 560€ en basse saison. Demandez un devis pour un séjour de 3 ou plus personnes).
Linge de lit et ménage de fin de séjour inclus. Possibilité de B&B… Les contacter.

0d1f1601-ebfb-4362-bdf5-523eba4aa096.1.6Le Miraval comprend une chambre avec un grand lit, sa salle de bain avec douche et la cuisine, moderne et fonctionnelle, située elle aussi au rez-de-chaussée.

L’accès direct au patio vous permet de profiter de la fraîcheur ; à votre disposition un barbecue pour vos grillades en plein air…
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Le plus 🙂 : dans l’espace wellness, vous pourrez profiter de massages aux huiles essentielles et shiatsu pratiqués par une main experte et toujours disponible sur place. Testé et approuvé 🙂

Tarifs préférentiels pour les visiteurs…

TARIFS DES LOCATIONS:
à partir de 57€/nuit
semaine de 7 nuits : 430€ en haute saison, 380€ en basse saison
Linge de lit et ménage de fin de séjour inclus. Possibilité de B&B…nous contacter.

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Pour les activités à pratiquer dans la région: canyoning, rando, alpinisme, escalade, rafting, canoë, via ferrata, vtt, visites culturelles, ornithologie, géologie, gastronomie, route des vins… 93040cbf-afc4-4856-bbc9-24b73143663a.1.10

 

Pour des vacances en couple ou en famille, en solitaire ou en groupe, ne cherchez plus, c’est la bonne adresse. Vous y serez bien accueillis !!!

Contact : Casa Dragones