Saint-Jeannet 06, les éleveurs des baous ouvrent une boutique

Frédéric Marquès et Claire Trastour sont les

« ELEVEURS DES BAOUS »

Grâce à eux, le village de SAINT-JEANNET compte une boutique de plus.

VENTE DIRECTE PRODUCTEURS :

Vous trouverez des fromages de brebis, de chèvre, des viandes, des œufs…    Les produits sont issus essentiellement de l’ exploitation de Frédéric et Claire à Saint-Jeannet, et d’autres producteurs des environs. Vous trouverez aussi des confiseries, des confitures faites maison, des conserves cuisinées, des sauces, des huiles, du vin du vignoble de Saint-Jeannet, quelques objet d’artisanat comme des tapis de laine. Ils vous attendent à l’entrée du village, place Sainte Barbe.

Jours d’ouverture: samedi, dimanche, mardi après-midi, et jeudi matin.

Continuons à faire vivre nos commerces de proximité en venant acheter leurs produits de la ferme.

Nous avions filmé Frédéric l’an dernier sur les collines du Baou de Saint-jeannet, avec les biquettes….

-Cliquez sur la vidéo-

 

Des collégiens,des pizzas bio, et « L’ami du Pain »

Coup de projecteur pour la rentrée sur le projet pédagogique de Jeanne-Noël Pinto, enseignante spécialisée pour les classes d’inclusion scolaire (pour élèves aux difficultés cognitives) du Collège Joseph Pagnol de Saint Laurent du Var (06). Avec « L’ami du Pain », ses élèves apprennent à fabriquer une pâte à pizza bio au grand air et dans la convivialité. Ce projet a plusieurs objectifs : -cliquez sur la vidéo-

« L’alimentation santé en pratique » de Virginie Parée

 

« L’alimentation santé en Pratique » de Virginie Parée aux éditions Mosaïques Santé est enfin disponible !

 Accompagnatrice en nutrition, Virginie Parée a acquis les fondements de l’alimentation grâce au Docteur Yann Rougier.

Solaire, ouverte, à l’écoute, elle a une réelle empathie nécessaire aux thérapeutes. Elle a aussi beaucoup réfléchi sur l’alimentation et ses bienfaits.

 

A Antibes dans son cabinet, au Sophia Country Club, ou par skype pour ses patients éloignés géographiquement, elle reçoit en consultation de nombreuses personnes en surpoids ; certaines suivent un traitement lourd, d’autres sont des sportifs, des étudiants qui ont besoin d’énergie, des jeunes mamans fatiguées qui veulent voir revenir leur force, des personnes plus âgées aussi, avec leurs besoins spécifiques, et bien sur les intolérants alimentaires qui trouvent en Virginie leur guide.

                    

 

Conférencière, Virginie intervient également en entreprise afin de diffuser les grands messages d’une alimentation préventive.

 

Grâce à une approche pédagogique, Virginie aide les personnes souffrant de désagréments liés à l’alimentation à trouver un équilibre. Elle redonne du sens à leurs repas, les encourage, les écoute et obtient d’excellents résultats! Tous lui ont réclamé un mode d’emploi. C’est le Dr Michel Lallement, chirurgien oncologue, auteur du best seller « Les Clés de l’alimentation santé » qui lui a proposé d’écrire ce guide de nutrition santé. Il a d’ailleurs préfacé son livre, gage d’une confiance sans limite.

 Virginie vous accompagnera tout au long de ses pages grâce à son expérience, et vous donnera recettes, astuces minceur, petits trucs pas rabat-joie pour vous nourrir et vous faire plaisir en éliminant les mauvaises graisses, les aliments acidifiants, nocifs pour notre corps et notre esprit.

Virginie Parée a souvent écrit dans nos pages; vous retrouverez ses articles dans les rubriques « bien-être », ou « alimentation ». C’est bio la vie à… vous recommande ce livre en commande sur FNAC, Amazon ou chez votre libraire entre 9 et 10 euros.  

Merci à Virginie d’avoir cité dans son livre notre site www.biodansnosvies.fr    

     

Salon de thé bio, « Aux sablés d’antan » à Carros

« Aux sablés d’antan », leur biscuiterie artisanale, Catherine et Marie vous attendent avec le sourire. Elle vous recevront dans une adorable petite maison en bois décorée avec goût de tissus, de broderies, de faïences et de bouquets séchés. Votre âme d’enfant est cueillie à l’instant ou pénétrez dans ce lieu magique. 

C’est d’ailleurs toutes les saveurs de l’enfance qui nous reviennent quand on goute à leurs sablés, gâteaux, pains d’épice, pains et tartes bio, fabriqués sur place, sans oublier les fameuses confitures faites avec des fruits de la région de Nice et du sucre roux bio. Pour la fabrication de toutes ces gourmandises, Catherine utilise uniquement des produits estampillés bio.  Rendez-vous sous le village de Carros, sur la terrasse ombragée, dans un jardin où la nature est reine, et vous pourrez, comme nous, déguster sur place toutes les spécialités de la biscuiterie, ou vous désaltérer après une balade. Il vous suffit de téléphoner avant au 0662513367  pour déjeuner ou dîner et pour commander des buffets en prévision de vos soirées ou évènements. Vous pouvez aussi faire des achats car il y a plein d’idées cadeau. Sur la pancarte de l’entrée est écrit :  » Pour un monde plus sain et plus respectueux ». Tout est dit ! -cliquez sur la vidéo-

Végétariens…?

 

Avant tout, il est important de redéfinir quelques mots. En effet, le végétarisme peut aller de la simple élimination de la viande de son alimentation, à la suppression totale des aliments d’origine animale ; on parle alors de végétalisme.

La plupart des végétariens ne mangent pas de viande (rouge ou blanche) et continuent de consommer des œufs et du poisson. D’autres ne suppriment que la viande rouge, et acceptent la viande de volailles. Et parce que notre vocabulaire s’enrichit en fonction de nos comportements, il existe désormais les flexitariens, qui sont des végétariens à temps partiels!

Dans l’inconscient, la viande symbolise bien souvent la force et la richesse. Apanage des seigneurs durant des siècles, les cartes ont été redistribuées avec la révolution industrielle, l’exode rural, l’augmentation des revenus et du niveau de vie. La viande entre alors dans tous les foyers, et apparaît dans tous les menus.

 

Au début du 19eme siècle, les français en consommaient 19 kg par an et par habitant. À la fin du 20eme siècle, ils atteignent un pic avec 94 kg de viande par an et par habitant. Depuis, une baisse s’est enclenchée avec 87,8 kg en 2009 et 66 kg actuellement (les américains en sont à 78 kg en 2011, les chinois à 59,5 en 2010). La tendance est nettement différente dans les pays émergents où la part de viande, encore très faible il n’y a pas si longtemps, est en constante augmentation (tout en restant très inférieure à la consommation des pays industrialisés).      

                                                                                                                                                                  

Cela devient inquiétant, quand on regarde le nombre d’habitants de ces pays. Si cette tendance se confirmait, il faudrait accroître la production de viande de la planète de 70 % d’ici 2050. 

Le mot production peut choquer, mais c’est bien de cela qu’il s’agit : aujourd’hui, on est loin de la notion d’élevage, où les animaux se nourrissaient sur les parties de terre non cultivables, transformant l’herbe fraîche en lait, viande, cuir et laine.

Et cette production intensive enclenche des pollutions dont on n’a pas forcément conscience :

–       Déforestation (avec perte de la biodiversité) pour les terres qui serviront au parcage des animaux, mais aussi à la culture des céréales utilisées pour leur nourriture.

Il est en effet loin le temps où les troupeaux étaient en liberté, à brouter de l’herbe fraîchement sortie de terre!

 

Les exploitations pour la viande ressemblent désormais à cela:

Élevages extensifs, dans le meilleur des cas: 

 

Mais le plus souvent, c’est de l’exploitation intensive qu’on retrouve:

 

–       Les plantations de céréales destinées à l’alimentation des animaux sont faites en agriculture conventionnelle (herbicides, pesticides, engrais chimiques), avec des semences OGM dans les pays qui les autorisent, et toutes les conséquences sur l’environnement que cela suppose.

–       L’ensemble de la filière consomme de très grandes quantités d’eau, pour les animaux, mais surtout pour la culture des céréales destinées à leur alimentation. 

 

 

–       

– Et l’ensemble de la filière  entraîne une pollution de l’eau avec les engrais, les pesticides, les herbicides, mais aussi les antibiotiques (en 2009, un rapport de l’Afssa publiait  la consommation d’antibiotiques vétérinaires en France avec 1 200 tonnes, dont 57 % en élevage porcin et 20 % en élevage avicole) et les hormones. Ces substances, présentes dans les déchets des animaux, sont entraînées par les eaux de pluie dans les eaux d’écoulement, rejoignant rivières, mers, océans, nappes phréatiques …

– Et une pollution de l’air avec les émissions de méthane et d’ammoniaque (couche d’ozone, création de pluies acides, algues vertes en Bretagne qui dégagent de l’hydrogène sulfuré toxique).

Selon la FAO (Food and Agriculture Organisation), l’industrie de la viande génère 18% des gaz à effet de serre (GES), chiffre remonté à 51 % par le Worldwatch Institute, ONG de recherche environnementale américaine, qui conseille régulièrement la FAO ou l’ONU. Pour comparer, l’ensemble des modes de transports réunis génèrent 14% de GES.

Prendre en compte les conditions d’élevage (intensif) et la souffrance animale devient une nécessité, sachant que plus de 80 % des animaux sont élevés dans ces conditions. Il y a de quoi pleurer lorsqu’on apprend que l’union européenne considère comme un progrès considérable le fait de faire passer l’espace vital d’une poule d’élevage de 550 cm2 à 750 cm2 (d’une feuille A4 à une feuille A4 + une carte postale) et 45 cm de hauteur…

Pour ceux qui seraient insensibles à cette considération, rappelons simplement que ce mode de production entraîne obligatoirement des problèmes sanitaires (vache folle, grippe aviaire…) et détériore la qualité de la viande (plus dure, acidifiée et contenant des hormones de stress comme l’adrénaline,…). Sans parler des poules nourries avec leurs  fientes ou des vaches nourries avec des farines à base de carcasse (pour des ruminants, c’est plutôt bizarre non… ?). Il a fallu le scandale de la vache folle pour l’interdire. Il existe même une spécialisation de l’agronomie, nommée zootechnie, qui étudie tous ces paramètres. De gros progrès sont encore à en attendre, surtout dans l’évolution du statut de l’animal, mais cette discipline a déjà, au moins, le mérite d’exister.  

Il est donc urgent de se demander si la viande est réellement indispensable à notre organisme, et surtout, dans quelle proportion ?

Il faut 3 kg de céréales pour produire 1kg de porc, et 8 kg de céréales pour 1 kg de bœuf…

Ces mêmes kilos de céréales contiennent des protéines végétales pouvant servir à l’alimentation humaine. Les détracteurs diront que ces dernières sont moins bien assimilées par l’organisme. Vrai, car les légumineuses sont pauvres en méthionine, et les céréales en lysine (deux acides aminés indispensables). Mais si on les associe, et qu’on redécouvre des modes de préparation culinaires adaptés, on retrouve alors tous les acides aminés indispensables à une bonne assimilation. Et pour optimiser l’absorption du fer, il faut penser à consommer en même temps de la vitamine C (citron, persil, kiwi…).

 

Exemples d’associations (qu’on retrouve dans les plats traditionnels) : riz+soja en Asie; semoule de blé + pois chiches en Afrique du Nord dans le couscous; maïs + haricots rouges en Amérique latine; et encore riz + lentille; maïs + amarante; riz + haricots; avoine + pois; millet + haricots…

 

Et bien sûr, des modes de préparations qui permettent de les assimiler :

Les lentilles et les pois cassés se cuisent comme les pommes de terre et le riz (pas de trempage préalable).

Les haricots blancs, noirs ou rouges, les pois chiches et les fèves nécessitent un trempage de quelques heures avant la cuisson (qu’on peut faire la nuit). Si on ne dispose pas du temps nécessaire, une première cuisson d’une dizaine de minutes peut le remplacer. On jette la première eau de cuisson, et on les fait cuire dans une deuxième eau, accompagnés d’aromates (sauge, fenouil, romarin) pour une meilleure digestibilité. Si vous n’en avez jamais consommé, commencez par de petites quantités, en augmentant petit à petit ; vos intestins vous en remercieront.

Si vous souhaitez plus d’informations, découvrez le « guide du végétarien débutant » en cliquant sur l’image: 

 

Le poisson

 

 

Les consommateurs en mangent de plus en plus, car c’est une bonne source de protéine. En 2010, on a atteint une moyenne mondiale de 17kg de poisson par habitant, soit 132 milliards de kilo (35 kg par français et par an en moyenne)… Cela engendre une surpêche généralisée et un épuisement des stocks de plus en plus rapide.

Quelques questions à se poser avant d’acheter du poisson :

– Cette espèce est-elle en voie de disparition (anchois, anguille… par exemple)?                    – Ce poisson a-t-il une taille correcte ?                                                                                           – Est-ce un poisson d’élevage ? Si oui, dans quelles conditions a-t-il été élevé ?                    – Cette espèce est-elle exposée à des polluants menaçant notre santé (mercure…) ?            – Quel est son état de conservation ?

Pour acheter du poisson, il est important de respecter un calendrier afin de tenir compte des cycles de reproduction des espèces. Pour en savoir plus, cliquez sur l’image pour agrandir le tableau source http://www.consoglobe.com/calendrier-des-poissons-cg

 

 

 

L’épuisement des poissons des eaux de surface a déclenché la hausse de la pêche en eaux profondes. Or, les poissons qui y vivent ont des cycles totalement différents, et une fragilité extrême. Il est donc important de ne pas cautionner cela en boycottant les espèces qu’on trouve sur les étals.

Cliquez sur l’image pour accéder à un tableau récapitulatif  des poissons de grande profondeur à éviter:

 

Et l’aquaculture alors ?

Elle est construite sur le même modèle que les exploitations intensives et les élevages en batterie, avec les mêmes conséquences pour l’environnement : problèmes de retraitement des déjections, contamination de l’eau par les bactéries, hormones, antibiotiques et autres molécules chimiques (par exemple, la couleur rose du saumon d’élevage est obtenue par l’ingestion de canthaxanthine, mise en cause dans la déficience visuelle des enfants), accumulation des pesticides dans la chair des poissons… Sans parler de l’autorisation par l’union européenne en février 2013 de réintroduire les farines animales dans l’alimentation des poissons d’élevage…

Le comble : pour produire 1 kg de poisson d’élevage, il faut compter 2,5 à 4 kg de poissons sauvages… !



 

 

L’aquaculture bio :

Elle répond à un cahier des charges drastiques, mis en place pour obtenir des poissons exempts de pesticides, hormones, antidépresseurs et autres cochonneries chimiques.

La densité de poissons dans l’eau est 4 fois inférieure à l’aquaculture intensive, générant des poissons moins stressés.

Cas particulier : les crevettes bio. D’après le rapport de la SSNC (société suédoise pour la conservation de la nature), leur production se fait principalement en Equateur et Madagascar, après déforestation des mangroves et violation des droits des populations locales. Il est donc conseillé, bien qu’ estampillées bio, de les éviter.

 

Les œufs

L’oeuf est l’aliment protéique de référence car il renferme tous les acides aminés indispensables. Reste à bien le choisir : 

Code 0 à privilégier: au moins 2,5 m2 de terrain en plein air par poule et alimentation biologique.

– Code 1 : au moins 2,5 m2 de terrain en plein air par poule

Code 2 à éviter : élevage intensif en intérieur avec 9 poules par m2.

Code 3 à éviter : élevage intensif en cage avec 18 poules par m2.

 

Autres sources de protéines :

Le seitan (sauf si intolérance au gluten) : fabriqué à partir de protéines de blé, il contient 30 % de protéines, très peu de graisses et pas de cholestérol et a un goût qui rappelle celui de la viande. Cela permet de revisiter les classiques de la cuisine française, ou d’innover, selon ses goûts ! Préférez le bio afin d’éviter les pesticides et autres produits chimiques !

Le tofu est fabriqué à partir du caillage du lait de soja. Très riche en protéines, dépourvu de cholestérol, son goût n’est cependant pas prononcé et il est nécessaire de l’agrémenter. Préférez le biologique. Il contient une faible proportion de phyto-oestrogènes (moins que le lait de soja) pouvant  atténuer ou provoquer certains troubles lors de la ménopause (en fonction de son état hormonal).

Les algues sont couramment consommées en Asie. Très riches en protéines, chlorophylle et éléments nutritifs, elles commencent à entrer dans nos menus.

Cliquez sur l’image pour accéder à une présentation de diverses variétés :

 

Et sur le lien suivant pour rejoindre un site de vente d’algues bretonnes bio : http://ocealg.com/index.phpoption=com_content&view=category&layout=blog&id=1&Itemid=9

 

La spiruline est une micro algue bleue, très riche en protéines. Associée à nos repas, elle en augmente la teneur en protéines. Elle est en outre très riche en fer, vitamines, sels minéraux et oligoéléments. Plus d’informations en cliquant sur le lien suivant:

http://www.lapenne.fr/index.php?post/2008/06/23/Spiruline-a-la-ferme-du-Collet

Sa culture se développe et il est possible de trouver des producteurs et formateurs  locaux. Dans les Alpes Maritimes, vous pouvez contacter Bertrand Ollivier (producteur, formateur et chercheur) à la Ferme du Collet 06 260 La Penne 04 93 03 27 81 b.ollivier@no-log.org

Il fait partie des créateurs de l’association Spiruline et progrès, pour la recherche d’une spiruline éthique et de qualité. Contact auprès de Bertand Ollivier ou à l’adresse mail : spirulinetprogres@gmail.com                                                                                                        Pour ceux qui veulent en savoir plus, vous pouvez participer à un atelier sur la culture de la spiruline. Voir le lien à la fin de l’article.

En France, il existe une fédération des spiruliniers. Tous les producteurs référencés sur leur site ne sont pas forcément bio : http://www.spiruliniersdefrance.fr/

Pour les plus inquiets à propos des incidences d’une alimentation végétarienne, lire le rapport de l’ADA en cliquant sur l’image: 

 

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La question fondamentale n’est donc pas tant se demander si on mange de la viande ou non, mais plutôt que et comment mange-t-on, et dans quelle proportion ? Comment a vécu l’animal ? Comment a-t-il été tué ?

A force de se nourrir en fonction de son envie plutôt que de ses réels besoins physiologiques, de manger des poissons carrés ou d’ouvrir des barquettes de steaks hachés, le consommateur a perdu tout lien avec le réel.

Il est urgent de redécouvrir le vrai, l’essentiel, bref, de devenir consom’acteurs, en redonnant une vraie valeur à notre nourriture, et en la considérant avec respect.

À toutes les personnes qui se demandent comment préserver la planète, nous leur demandons de réduire la part de viande de leur alimentation, et de préférer une viande de qualité provenant de la filière biologique et de proximité. Vous éviterez ainsi de planter votre fourchette dans un morceau de ce qui fut autrefois un arbre d’Amazonie…et pourrez aller dire bonjour aux éleveurs locaux.

Intégrez à votre alimentation les protéines végétales, et équilibrez la semaine en alternant les menus.

Pour des questions de diététique et d’équilibre alimentaire (et plus particulièrement sur les acides aminés indispensables et ses facteurs limitants, sur les équilibres entre protéines animales et végétales, et sur les apports spécifiques à chacun), vous pouvez contacter Virginie Parée, notre accompagnatrice en diététique préférée au 06 18 01 52 81 :   

 

Pour les plus exigeants, qui s’intéressent aussi au monde quantique, vous trouverez des infos sur un appareil de cuisson vapeur sur le lien suivant : 

http://www.vitaliseurdemarion.fr/#teasers

Sur la page de notre agenda de Mai, retrouvez des informations sur le salon Biogée à Villars sur var et sur une formation sur la culture de la spiruline: 

 

Et retrouvez des citations de célébrités végétariennes sur le lien suivant en cliquant sur la photo: 

 

                                                                                                                 Nathalie 

5 fruits 5 légumes / jour : possible ?

Objectif 5 fruits et légumes par jour : est-ce possible ?

 

Le PNNS (programme national de nutrition santé) préconise 5 portions de fruits et légumes par jour. Pourquoi?

L’alimentation riche en fruits et légumes, signe la présence de vitamines et de minéraux, et de ce fait réduit la survenue des maladies cardio-vasculaires et des cancers.

On peut consommer les légumes en purées, en soupes, en salades ou en gratins, les fruits en jus, compotes, salades, tartes ou flans.

Surgelés, en boîte, frais, crus, secs ou cuits, bonne nouvelle, tout est bon pour la santé !

Mais quelle quantité consommer au quotidien ?

5OO grammes par jour est idéal, soit 5 portions de 1OO grammes réparties sur les trois repas.

La taille de votre poing fermé est un bon repère pour vous signaler la portion idéale. Par exemple, une poignée de salade verte, une belle tomate ou un artichaut, une poignée de haricots verts pour les portions légumes et pour les portions fruits, une banane, une poignée de fraises, une coupe de salade de fruits en morceaux, ou pot de compote du commerce. Choisissez et variez les plaisirs.

(Evidemment, le poing de votre enfant de deux ans ne sera pas le même que celui de Gégé votre voisin rugbyman ! A combiner en fonction de votre poids et de votre taille !)

Les pois chiches, les haricots blancs, les rouges, les lentilles et les pommes de terres sont des légumineuses excellentes pour la santé. Certains nutritionnistes préfèrent les

comptabiliser comme des protéines. En effet, ces légumineuses peuvent aider à moins consommer de protéines animales.

La pomme de terre est un féculent au même titre que le riz ou les pâtes, mais elle est riche en vitamine C, et apporte des fibres digestes comme un fruit .

 

Vos enfants n’aiment pas les fruits et les légumes? Trouvez des astuces, une présentation artistique dans l’assiette peut parfois séduire les réfractaires.

Les purées de toutes les couleurs, les pyramides de légumes et les brochettes de fruits sont rarement laissées de côté.

On peut leur faire plaisir avec les smoothies et  les jus de fruits à condition qu’ils soient 100% fruits pressés et sans sucre ajouté. Bannir les sodas, les nectars, les boissons concentrées ou aromatisées qui apportent peu de fibres et trop de sucre.

 

I.D.E.E.S D.E.C.O. pour des menus à déguster avec vos enfants :

Pour l’entrée, confectionnez une brochette avec de petites tomates, des olives, des petits carrés de concombre, un abricot sec, un morceau de melon et un dé de chèvre.

Dans un plat allant au four, découpez en carrés deux aubergines, deux courgettes, deux pommes de terre, deux oignons, ajoutez quelques olives vertes et noires, un filet d’huile d’olive, du gros sel et quelques feuilles de basilic, mettez à four chaud et cuisez à 180°.

Quand les légumes sont cuits, enfilez-les sur un pic à brochette.

Confectionnez une brochette de fruits avec un carré d’ananas, une fraise, un morceau de pêche, une rondelle de banane, un morceau de pomme, un d’orange.

Côté décoration, les petites coupelles à glace sont parfaites pour contenir des petites salades colorées :

Dans une coupe, découpez en tout petits morceaux une belle tomate bien ferme, du fenouil en petits carrés, et des champignons de paris émincés et citronnés, des olives noires, arrosez d’huile d’olive et de citron pressé, de fleur de sel.

Les enfants adorent les pailles :

Pour 4 personnes, mixez un concombre à demi épluché, avec un yaourt nature, de l’huile d’olive, du sel, et de la menthe. Réservez au frigo pendant quelques heures et servez glacé dans un grand verre à soda avec une paille.

Les petits moules à tartes ou à flan sont idéaux pour confectionner des entrées chaudes et rigolotes.

Pour des minis flans de courgettes pour 4 personnes, lavez et découpez deux courgettes en fines lamelles, faites les revenir avec un oignon dans l’huile d’olive pendant 10 minutes. Mixez 30 cl de crème fraîche liquide et 4 oeufs.

Répartissez les légumes dans les moules et étalez par dessus l’appareil à flan.

Enfournez 20 minutes à 170%.

Servez chaud dans une jolie petite serviette de table nouée, chaque petit flan sera reçu comme un cadeau.

P. S pour biodansnosvies.fr